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Nécropole
# | Discography | Type | Year | |
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1 | Atavisme... | Demo | 2014 | Show album |
2 | Ostara | Demo | 2015 | Show album |
3 | Nécropole | Compilation | 2016 | Show album |
4 | Sisyphe couronné | Demo | 2018 | Show album |
5 | Solarité | Full-length | 2018 | Show album |
Atavisme...
Members | |
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Band members | |
Brume | Drums |
Amertume | Guitars, Bass, Songwriting |
Déchéance | Vocals, Lyrics |
Miscellaneous staff | |
Brume | Recording |
Tracks | |||
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Single-sided | |||
1. | Le ver immonde | 04:32 | Show lyrics |
Sion, pute infâme, je vomirai sur ton visage hideux, ma haine primordiale Sodome, pluie de flammes, impureté, mon bras sera la vengeance ancestrale Vampirisme, souille, gangrène, monstre de chaire et d’envie Tu te gargarises de la médiocrité, ver immonde, ignominie Tes victimes gémissent, leurs os se broient tu maintiens ton étreinte Tes fils sèment les germes putrides de la décadence Ta race perdure, trichine, notre honneur se meurt Sion, citadelle, du dégoût, je te briserai, dusse-je traverser une mer de lames acérées Le sang se mêle aux fluides visqueux esclaffe-toi de cette corruption dont tu es l’éternelle instigatrice Sion la maudite, ta destruction sera notre renaissance, notre gloire retrouvée . ...Et même si mon corps doit être le seul barrage, je tarirai ce flot d’immondices. |
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2. | Perdition de l’atavisme cristallin | 08:38 | Show lyrics |
Fléau de l’abject, Les rats pervertissent, s’immiscent et détruisent Tous nos fruits, flétris, pourris Je maudis mille fois l’intarissable source d’abomination, cette horreur endémique Perdition des âmes affaiblies prêtes à céder sous les assauts incessants des charognards. Le venin instigué n’a d’égal que votre blâme d’accepter dans vos lits ces youtres enragés Alliés de la sauvageries, soumis au culte fétide Esclaves vous resterez, le calvaire calciné, le temple à nouveau érigé. Tant de sang pur, perdu dans ces miasmes judaïque Communiez dans le stupre, et sombrez dans l’abime Quel espoir pour l’atavisme cristallin ? Bafoué et violé Pour l’héritage ancestral ? Piétiné et souillé Prosternez-vous devant le grotesque, perdez toute volonté A genoux devant le difforme Yahvé, asservis à jamais. |
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3. | Souveraineté du maudit | 09:48 | Show lyrics |
Figure messianique qui dans un nuage de souffre S’évanouit aux yeux de l’impie Jouissant de la faiblesse de l’humain, malléable Qui dans la débauche, Trouvera une éphémère raison à son anecdotique existence Sans partage, l’ermite de l’intolérable règne sur ce torrent d’âmes damnées qui charrient vices et atrocités Il s’immisce, intrigue, et dévore Ils l’acceptent, se méprennent et s’abaissent non serviam, non serviam La beauté du diable les prive de volonté Et sa laideur les assassine Le Tentateur est tout puissant Par la grâce des doctrines mortifères. |
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22:58 |
Ostara
Members | |
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Band members | |
Brume | Drums |
Amertume | Guitars, Bass, Songwriting |
Déchéance | Vocals, Lyrics |
Miscellaneous staff | |
Brume | Recording |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Immanence | 07:25 | Show lyrics |
Mes errances m’ont amené aux limites du Septentrion. Don des nuées boréales, issu du limon cosmique, J’y ai retrouvé le Surhomme, Empalé sur la souche morte d’Yggdrasil. Emanations putrides, les nécrosyrtes sont repus Ils ont rendu vicié l’air pur que jadis je respirais à pleins poumons Avant la profanation, avant la stridente caelifère Avant que tous ne sombrent, inexorablement, dans la folie J’ai contemplé l’Atroce, les reliquats de gloire piétinés Avant la compromission, avant la Géhenne Avant que tous n’abandonnent la voie de leurs Pères J’ai contemplé l’Atroce et ses territoires innommables Ses chemin sinueux que tous empruntèrent, préférant le précipice à la Lumière. Témoin de la déchéance, Je me soustrais à la l’étreinte suffocante des obscurantistes Qui m’interdisent ce à quoi mon sang me donne droit Qu’ils soient pris par la peste ! Que leurs peaux huileuses ornent le trône des Sisamnes. Le statut de dieux est nôtre. |
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2. | Trahison fratricide | 06:00 | Show lyrics |
L’ennemi séculaire qui jadis te caressait l’échine, a vicieusement planté ses ongles immondes dans ta chaire. Et toi, victime désignée, rongée par des remords qui n’avaient pas lieu d’être, Tu as supplié la vermine de t’offrir le pardon, qui a permis aux cancrelats de se multiplier. Les plaintes de l’Aryen, devenues suppliques, n’accompagnent plus que le fracas de ses chaînes Quel sort misérable pour celui qui a privilégié les voies malsaines du mélange des sangs Nous te renions feu notre Frère comme tu nous as renié. Tu as dilapidé l’héritage, tu l’as offert aux vautours, comme tu l’offres désormais à la merci de tes maîtres. Tu as cultivé notre perte, l’as-tu même souhaitée, ignoble traître ? Le désert qui a vomi tes rois ne saura absorber toute la peine Engendrée par cette trahison fratricide. Mais si nous n’avons pas encore abdiqué, face à la multitude, face à la masse cosmopolite, nous les dignes fils de la terre d’Europe C’est que nous te haïssons, félon, plus encore que les hiérodules du poison éternel. |
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3. | Nécropole | 08:30 | Show lyrics |
La flamme vacille, puisse-t-elle toujours briller. J’entends la rumeur de l’ultime soubresaut et bientôt le tonnerre de la reconquête vengeresse. Je connais les voies du sang, elles ne mentent jamais La Grande Race, acculée au bord du gouffre, se réinvente. Le constructeur contre le destructeur. La renaissance contre la régression. Ostara ! Réveille-toi. Que ton œil brûle les idoles des mythes de notre asservissement, Que ton aura abatte les temples érigés par la malfaisance, Que la lumière dépasse enfin les ténèbres. Ils avaient creusé ma sépulture, prête à accueillir ma dépouille mutilée « Hosanna ! » hurlaient ces fossoyeurs lippeux voyant l’Astre s’obscurcir Mais je ne serai pas le martyr d’un monde de putrescence insondable Et tandis que j’imprime dans leur gorge le feu de ma haine, Les rayons du soleil noir transpercent déjà les impurs et purifient les reliquats du marasme millénaire. Je rallume la flamme. Je restaure ma Nécropole. |
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Side B | |||
1. | Immanence | 07:25 | Show lyrics |
Mes errances m’ont amené aux limites du Septentrion. Don des nuées boréales, issu du limon cosmique, J’y ai retrouvé le Surhomme, Empalé sur la souche morte d’Yggdrasil. Emanations putrides, les nécrosyrtes sont repus Ils ont rendu vicié l’air pur que jadis je respirais à pleins poumons Avant la profanation, avant la stridente caelifère Avant que tous ne sombrent, inexorablement, dans la folie J’ai contemplé l’Atroce, les reliquats de gloire piétinés Avant la compromission, avant la Géhenne Avant que tous n’abandonnent la voie de leurs Pères J’ai contemplé l’Atroce et ses territoires innommables Ses chemin sinueux que tous empruntèrent, préférant le précipice à la Lumière. Témoin de la déchéance, Je me soustrais à la l’étreinte suffocante des obscurantistes Qui m’interdisent ce à quoi mon sang me donne droit Qu’ils soient pris par la peste ! Que leurs peaux huileuses ornent le trône des Sisamnes. Le statut de dieux est nôtre. |
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2. | Trahison fratricide | 06:00 | Show lyrics |
L’ennemi séculaire qui jadis te caressait l’échine, a vicieusement planté ses ongles immondes dans ta chaire. Et toi, victime désignée, rongée par des remords qui n’avaient pas lieu d’être, Tu as supplié la vermine de t’offrir le pardon, qui a permis aux cancrelats de se multiplier. Les plaintes de l’Aryen, devenues suppliques, n’accompagnent plus que le fracas de ses chaînes Quel sort misérable pour celui qui a privilégié les voies malsaines du mélange des sangs Nous te renions feu notre Frère comme tu nous as renié. Tu as dilapidé l’héritage, tu l’as offert aux vautours, comme tu l’offres désormais à la merci de tes maîtres. Tu as cultivé notre perte, l’as-tu même souhaitée, ignoble traître ? Le désert qui a vomi tes rois ne saura absorber toute la peine Engendrée par cette trahison fratricide. Mais si nous n’avons pas encore abdiqué, face à la multitude, face à la masse cosmopolite, nous les dignes fils de la terre d’Europe C’est que nous te haïssons, félon, plus encore que les hiérodules du poison éternel. |
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3. | Nécropole | 08:30 | Show lyrics |
La flamme vacille, puisse-t-elle toujours briller. J’entends la rumeur de l’ultime soubresaut et bientôt le tonnerre de la reconquête vengeresse. Je connais les voies du sang, elles ne mentent jamais La Grande Race, acculée au bord du gouffre, se réinvente. Le constructeur contre le destructeur. La renaissance contre la régression. Ostara ! Réveille-toi. Que ton œil brûle les idoles des mythes de notre asservissement, Que ton aura abatte les temples érigés par la malfaisance, Que la lumière dépasse enfin les ténèbres. Ils avaient creusé ma sépulture, prête à accueillir ma dépouille mutilée « Hosanna ! » hurlaient ces fossoyeurs lippeux voyant l’Astre s’obscurcir Mais je ne serai pas le martyr d’un monde de putrescence insondable Et tandis que j’imprime dans leur gorge le feu de ma haine, Les rayons du soleil noir transpercent déjà les impurs et purifient les reliquats du marasme millénaire. Je rallume la flamme. Je restaure ma Nécropole. |
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21:55 |
Nécropole
Album versions
Release date | Label | Catalog ID | Format | Description |
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February 25th, 2016 | Northern Heritage Records | NH-092 | CD | |
August 1st, 2016 | Northern Heritage Records | NH-092 | 12" vinyl | |
December 12th, 2018 | Northern Heritage Records | NH-092 | 12" vinyl | Repress |
Members | |
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Band members | |
Amertume | Guitars, Bass, Songwriting |
Déchéance | Vocals, Lyrics |
Brume | Drums |
Miscellaneous staff | |
Brume | Recording |
Tracks | |||
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1. | Le ver immonde | 04:33 | Show lyrics |
Sion, pute infâme, je vomirai sur ton visage hideux, ma haine primordiale Sodome, pluie de flammes, impureté, mon bras sera la vengeance ancestrale Vampirisme, souille, gangrène, monstre de chaire et d’envie Tu te gargarises de la médiocrité, ver immonde, ignominie Tes victimes gémissent, leurs os se broient tu maintiens ton étreinte Tes fils sèment les germes putrides de la décadence Ta race perdure, trichine, notre honneur se meurt Sion, citadelle, du dégoût, je te briserai, dusse-je traverser une mer de lames acérées Le sang se mêle aux fluides visqueux esclaffe-toi de cette corruption dont tu es l’éternelle instigatrice Sion la maudite, ta destruction sera notre renaissance, notre gloire retrouvée . ...Et même si mon corps doit être le seul barrage, je tarirai ce flot d’immondices. |
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2. | Perdition de l’atavisme cristallin | 08:40 | Show lyrics |
Fléau de l’abject, Les rats pervertissent, s’immiscent et détruisent Tous nos fruits, flétris, pourris Je maudis mille fois l’intarissable source d’abomination, cette horreur endémique Perdition des âmes affaiblies prêtes à céder sous les assauts incessants des charognards. Le venin instigué n’a d’égal que votre blâme d’accepter dans vos lits ces youtres enragés Alliés de la sauvageries, soumis au culte fétide Esclaves vous resterez, le calvaire calciné, le temple à nouveau érigé. Tant de sang pur, perdu dans ces miasmes judaïque Communiez dans le stupre, et sombrez dans l’abime Quel espoir pour l’atavisme cristallin ? Bafoué et violé Pour l’héritage ancestral ? Piétiné et souillé Prosternez-vous devant le grotesque, perdez toute volonté A genoux devant le difforme Yahvé, asservis à jamais. |
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3. | Souveraineté du maudit | 09:50 | Show lyrics |
Figure messianique qui dans un nuage de souffre S’évanouit aux yeux de l’impie Jouissant de la faiblesse de l’humain, malléable Qui dans la débauche, Trouvera une éphémère raison à son anecdotique existence Sans partage, l’ermite de l’intolérable règne sur ce torrent d’âmes damnées qui charrient vices et atrocités Il s’immisce, intrigue, et dévore Ils l’acceptent, se méprennent et s’abaissent non serviam, non serviam La beauté du diable les prive de volonté Et sa laideur les assassine Le Tentateur est tout puissant Par la grâce des doctrines mortifères. |
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4. | Immanence | 07:29 | Show lyrics |
Mes errances m’ont amené aux limites du Septentrion. Don des nuées boréales, issu du limon cosmique, J’y ai retrouvé le Surhomme, Empalé sur la souche morte d’Yggdrasil. Emanations putrides, les nécrosyrtes sont repus Ils ont rendu vicié l’air pur que jadis je respirais à pleins poumons Avant la profanation, avant la stridente caelifère Avant que tous ne sombrent, inexorablement, dans la folie J’ai contemplé l’Atroce, les reliquats de gloire piétinés Avant la compromission, avant la Géhenne Avant que tous n’abandonnent la voie de leurs Pères J’ai contemplé l’Atroce et ses territoires innommables Ses chemin sinueux que tous empruntèrent, préférant le précipice à la Lumière. Témoin de la déchéance, Je me soustrais à la l’étreinte suffocante des obscurantistes Qui m’interdisent ce à quoi mon sang me donne droit Qu’ils soient pris par la peste ! Que leurs peaux huileuses ornent le trône des Sisamnes. Le statut de dieux est nôtre. |
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5. | Trahison fratricide | 06:01 | Show lyrics |
L’ennemi séculaire qui jadis te caressait l’échine, a vicieusement planté ses ongles immondes dans ta chaire. Et toi, victime désignée, rongée par des remords qui n’avaient pas lieu d’être, Tu as supplié la vermine de t’offrir le pardon, qui a permis aux cancrelats de se multiplier. Les plaintes de l’Aryen, devenues suppliques, n’accompagnent plus que le fracas de ses chaînes Quel sort misérable pour celui qui a privilégié les voies malsaines du mélange des sangs Nous te renions feu notre Frère comme tu nous as renié. Tu as dilapidé l’héritage, tu l’as offert aux vautours, comme tu l’offres désormais à la merci de tes maîtres. Tu as cultivé notre perte, l’as-tu même souhaitée, ignoble traître ? Le désert qui a vomi tes rois ne saura absorber toute la peine Engendrée par cette trahison fratricide. Mais si nous n’avons pas encore abdiqué, face à la multitude, face à la masse cosmopolite, nous les dignes fils de la terre d’Europe C’est que nous te haïssons, félon, plus encore que les hiérodules du poison éternel. |
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6. | Nécropole | 08:09 | Show lyrics |
La flamme vacille, puisse-t-elle toujours briller. J’entends la rumeur de l’ultime soubresaut et bientôt le tonnerre de la reconquête vengeresse. Je connais les voies du sang, elles ne mentent jamais La Grande Race, acculée au bord du gouffre, se réinvente. Le constructeur contre le destructeur. La renaissance contre la régression. Ostara ! Réveille-toi. Que ton œil brûle les idoles des mythes de notre asservissement, Que ton aura abatte les temples érigés par la malfaisance, Que la lumière dépasse enfin les ténèbres. Ils avaient creusé ma sépulture, prête à accueillir ma dépouille mutilée « Hosanna ! » hurlaient ces fossoyeurs lippeux voyant l’Astre s’obscurcir Mais je ne serai pas le martyr d’un monde de putrescence insondable Et tandis que j’imprime dans leur gorge le feu de ma haine, Les rayons du soleil noir transpercent déjà les impurs et purifient les reliquats du marasme millénaire. Je rallume la flamme. Je restaure ma Nécropole. |
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44:42 |
Sisyphe couronné
Members | |
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Amertume | All instruments, Vocals |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Aurore | 05:28 | |
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2. | Sisyphe couronné | 04:58 | instrumental |
(loading lyrics...) | |||
Side B | |||
1. | Aurore | 05:28 | |
(loading lyrics...) | |||
2. | Sisyphe couronné | 04:58 | instrumental |
(loading lyrics...) | |||
10:26 |
Solarité
Album versions
Release date | Label | Catalog ID | Format | Description |
---|---|---|---|---|
November 6th, 2018 | Northern Heritage Records | NH-105 | CD | |
December 12th, 2018 | Northern Heritage Records | NH-105 | 12" vinyl |
Members | |
---|---|
Band members | |
Amertume | Guitars, Bass, Drums, Vocals |
Miscellaneous staff | |
Amertume | Mixing, Layout |
M. A. | Mastering |
Tracks | |||
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1. | Aurore | 05:28 | Show lyrics |
Glorieuse lueur matutine Qui surgit des tréfonds de l’abîme Figure hiératique et austère Gardienne de la frange crépusculaire Ton joyau céleste me montre encore la voix tracée Lorsqu’au Levant l’horizon irisé Illumine les cimes de tes doigts de rosée Héraut sacré, sang d’Hélios Ta venue annonce celle du soleil invaincu Quand point l’aube, à la robe de safran Tes voiles moirés brisant la nuit des temps Tes iris d’or pur, ignés, incandescents Balaient d’un regard les terreurs éphialtiques Et tes larmes amères ascendent aux nuées Ô Première née... Qu’Indra te libère du Ver Et que vienne le jour dans ta gloire Que ta vérité dévoile le bacille Et consume lentement les striges sept fois maudits Eos ! Ton Front ceint de clarté divine Tranche telle une lame les ténèbres nocturnes Ausos ! Ton chariot un fleuve d’or Foudroyant les démiurges, inondant les vallées Apportant la nouvelle de la loi éternelle Immortelle lumière conquérante Avant de disparaître, Hespéra, au Ponant Toi par qui arrive la fin de l’Âge Noir Puisses-tu purger la fange crépusculaire. |
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2. | Ferments de corruption | 08:28 | Show lyrics |
Vermineuse plique, gale endémique Affichant sur sa race les stigmates de l’esprit Ferments de corruption, levures hébraïques Gonflant tels des cadavres les dépouilles des Empires Pouilleux chameliers surgis du désert Se sont couronnés rois de toute la Terre Election divine autoproclamée N’étaient que les miasmes du démiurge Yahveh Incapables de contenir la frénésie lubrique De vos femelles immondes, sournoises et impies Forcés d’ériger tel trône hystérique La lignée maternelle, seul espoir de survie L’inversion totale posée au faite du monde La perversion faite Loi, codifiée à outrance Caravansérail mental d’exégèses futiles Ergotant doctement non du sexe des anges Mais de celui de vos filles Vampires pédovores, mutilateurs infantiles De la Tradition vous fîtes un codex de bile Alchimistes fébriles de la destruction Qui par leur rites funestes ont changé l’or en plomb Sycophantes vicieux, casuistiques insanes Qui frappent d’anathème le désir de Vie Doués par leur Dieu de la seule tromperie Afin de prolonger la souche maudite La tumeur judaïque réduit l’hôte à merci Il voit son idéal souillé et détruit Ce qu’il a de plus cher, rendu orde et immonde Par la lèpre du Monde Le destructeur oeuvre à tout araser En un magma informe de glaise sans volonté Le creuset doit détruire toute altérité Pour hâter la venue de l’idole abhorrée Race de vipères, ennemis cosmiques, Rois du siècle, rois du cycle Provocateurs eschatologiques Votre paix suprême est un rêve de ruine L’éternel retour exige un sacrifice Oblation des vestiges putrides La balance est formelle La "race" יהודי doit mourir Ceux qui périront sont déjà morts, Je ne suis que l’instrument, illuminé Entérinant par l’épée le jugement sanctifié.י |
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3. | Le culte du héros | 08:17 | Show lyrics |
Leçon fut prise de Prométhée Démesure enchaînée, l’hybris crucifié Ses oracles infertiles, son nom usurpé Attendait un héros pour ses liens lui briser Pour expier dans la bile cette ivresse insensée Point d’orgueil titanique, ni transe extatique Nulle espérance fiévreuse, frénésie messianique Mais sapience et certitude, impassibles auspices Que le glaive olympien dispensera justice Tel, le législateur et discriminateur Jaugeant les imparfaits, à l’aune ancestrale D’un habile coup de taille il séparera ce qui était mêlé Par les desseins néfastes des démiurges tarés J’étais prisonnier du néant, perdu Tout environné de noires nuées Mais les ténèbres ne pèsent plus Lorsque l’on sait marcher vers l’aurore Je lève l’étendard, émergeant des décombres J’éveille les héros maudits Ultime bataille pour la vérité pénultième Je déchirerai le voile Tandis que se défile l’étoffe De l’illusion fantasmagorique Par le don trop longtemps repoussé L’anamnèse accomplie, j’écraserai l’infâme Une ordalie céleste, wergild cosmique Châtiment réclamé sur ces nuques offertes Et par cet holocauste de sang et Feu sacré Baptise de lumière les guerriers deux-fois nés ! Ainsi je chante le retour d’Astrée De Justice et Némésis De l’ancien règne Saturnien Par une nouvelle race d’Hommes venus des Cieux Leçon fut prise de Prométhée Pour guider les pas des enfants de Borée L’hybris surmonté par la geste héroïque Les vestiges de l’Âge d’Or par Alcée restaurés |
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4. | La voie est la vertu | 08:59 | Show lyrics |
Ouroboros est brisé, le fil rompu Esprit sarclé, orphelin et nu A tâtons dans le labyrinthe obscur Absolu, que ta voie soit ma vertu Ariane a tissé un écheveau mêlé Que l’épée seule saura dénouer Pour me libérer du dédale Sans mes ailes brûler Prends garde, toi qui Contemple du char le trajet La chute est brusque Pour qui ascent sans piété A travers la clarté mystérieuse Apparaît le monarque céleste Le sceptre est dans sa main gauche Souverain déchu du coeur des hommes Son absence une plaie béante La noire égide est dans sa droite Je suis la voie, je suis la clef Le rameau orphique, ignipotent Qui ouvre béantes les portes de la Mort Et annonce, aube d’or, ton éveil imminent N’aurais-je préféré m’endormir Du sommeil de la Terre ? Mais cette passion est chose de chair Et la doit défendre par ma chair Et l’esprit "Je souffre et je désire" Contre l’engeance de Surtr, qui grouillante Du Sud vient refermer le cercle Hommerie d’apocalypse, noires multitudes serves Lors le cor retentit, les mondes s’ouvrent Amors, et à travers elle Quand les Borées me voudraient fléchir Je resterais, tel le frêne Lié au rox, la cime en Ciel, Les racines plongées jusqu’à Hel Sauvé d’Elivagar, cent fois guidé par ta Lumière Lié à l’Enfer Le souffle figé vers le firmament |
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5. | L’orbe du monde | 05:06 | instrumental |
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6. | Sous l’égide d’Éros | 09:17 | Show lyrics |
Elle porte la flamme, feu céleste Point dérobé, atteint par nous-mêmes Clé par laquelle nous recouvrons Thulé Aux côtés et au sein des Dieux Effroi vertigineux dans la contemplation De l’abîme de ta nudité, vérité pure Que celui sans race ignore Absolu jadis perdu, Ne t’ai-je point toujours connue ? Traverser la dryade, vers l’unité Un voyage au bout de la Nuit Pour triompher de l’obscur despote La couche devient l’autel de nocturnes holocaustes Mais du démon ne serait point esclave Car ce n’est pas pour Elle que brûle mon sein Mais bien pour la lumière immortelle Mania d’exaltation divine Insatiable eucharistie Cette soif qui ne peut être étanchée, Tonneau des Danaïdes par passion, réifié Nous briserons les idoles, Jusqu’à la vertu même, Par-delà bien et mal, Sous l’indulgence des éternels Je me défie de l’orgueil des Uns des origines Je fais de l’hétaïre sélène une épousée royale Le mariage de l’Etre et de la Puissance Dont la danse sur mon corps immobile Annonce le retour Eros Triomphant, torche en main Mon désir, un arc tendu Dont la flèche fendrait verticalement l’éther Restaure mon intégrité, fais moi Un Rend moi à mon être primordial, Dans l’étreinte où la mort s’efface, A l’éternité |
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45:35 |
Nécropole
Members | |
---|---|
Band members | |
Amertume | Guitars, Bass, Songwriting |
Déchéance | Vocals, Lyrics |
Brume | Drums |
Miscellaneous staff | |
Brume | Recording |
Tracks | |||
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1. | Le ver immonde | 04:33 | Show lyrics |
Sion, pute infâme, je vomirai sur ton visage hideux, ma haine primordiale Sodome, pluie de flammes, impureté, mon bras sera la vengeance ancestrale Vampirisme, souille, gangrène, monstre de chaire et d’envie Tu te gargarises de la médiocrité, ver immonde, ignominie Tes victimes gémissent, leurs os se broient tu maintiens ton étreinte Tes fils sèment les germes putrides de la décadence Ta race perdure, trichine, notre honneur se meurt Sion, citadelle, du dégoût, je te briserai, dusse-je traverser une mer de lames acérées Le sang se mêle aux fluides visqueux esclaffe-toi de cette corruption dont tu es l’éternelle instigatrice Sion la maudite, ta destruction sera notre renaissance, notre gloire retrouvée . ...Et même si mon corps doit être le seul barrage, je tarirai ce flot d’immondices. |
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2. | Perdition de l’atavisme cristallin | 08:40 | Show lyrics |
Fléau de l’abject, Les rats pervertissent, s’immiscent et détruisent Tous nos fruits, flétris, pourris Je maudis mille fois l’intarissable source d’abomination, cette horreur endémique Perdition des âmes affaiblies prêtes à céder sous les assauts incessants des charognards. Le venin instigué n’a d’égal que votre blâme d’accepter dans vos lits ces youtres enragés Alliés de la sauvageries, soumis au culte fétide Esclaves vous resterez, le calvaire calciné, le temple à nouveau érigé. Tant de sang pur, perdu dans ces miasmes judaïque Communiez dans le stupre, et sombrez dans l’abime Quel espoir pour l’atavisme cristallin ? Bafoué et violé Pour l’héritage ancestral ? Piétiné et souillé Prosternez-vous devant le grotesque, perdez toute volonté A genoux devant le difforme Yahvé, asservis à jamais. |
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3. | Souveraineté du maudit | 09:50 | Show lyrics |
Figure messianique qui dans un nuage de souffre S’évanouit aux yeux de l’impie Jouissant de la faiblesse de l’humain, malléable Qui dans la débauche, Trouvera une éphémère raison à son anecdotique existence Sans partage, l’ermite de l’intolérable règne sur ce torrent d’âmes damnées qui charrient vices et atrocités Il s’immisce, intrigue, et dévore Ils l’acceptent, se méprennent et s’abaissent non serviam, non serviam La beauté du diable les prive de volonté Et sa laideur les assassine Le Tentateur est tout puissant Par la grâce des doctrines mortifères. |
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4. | Immanence | 07:29 | Show lyrics |
Mes errances m’ont amené aux limites du Septentrion. Don des nuées boréales, issu du limon cosmique, J’y ai retrouvé le Surhomme, Empalé sur la souche morte d’Yggdrasil. Emanations putrides, les nécrosyrtes sont repus Ils ont rendu vicié l’air pur que jadis je respirais à pleins poumons Avant la profanation, avant la stridente caelifère Avant que tous ne sombrent, inexorablement, dans la folie J’ai contemplé l’Atroce, les reliquats de gloire piétinés Avant la compromission, avant la Géhenne Avant que tous n’abandonnent la voie de leurs Pères J’ai contemplé l’Atroce et ses territoires innommables Ses chemin sinueux que tous empruntèrent, préférant le précipice à la Lumière. Témoin de la déchéance, Je me soustrais à la l’étreinte suffocante des obscurantistes Qui m’interdisent ce à quoi mon sang me donne droit Qu’ils soient pris par la peste ! Que leurs peaux huileuses ornent le trône des Sisamnes. Le statut de dieux est nôtre. |
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5. | Trahison fratricide | 06:01 | Show lyrics |
L’ennemi séculaire qui jadis te caressait l’échine, a vicieusement planté ses ongles immondes dans ta chaire. Et toi, victime désignée, rongée par des remords qui n’avaient pas lieu d’être, Tu as supplié la vermine de t’offrir le pardon, qui a permis aux cancrelats de se multiplier. Les plaintes de l’Aryen, devenues suppliques, n’accompagnent plus que le fracas de ses chaînes Quel sort misérable pour celui qui a privilégié les voies malsaines du mélange des sangs Nous te renions feu notre Frère comme tu nous as renié. Tu as dilapidé l’héritage, tu l’as offert aux vautours, comme tu l’offres désormais à la merci de tes maîtres. Tu as cultivé notre perte, l’as-tu même souhaitée, ignoble traître ? Le désert qui a vomi tes rois ne saura absorber toute la peine Engendrée par cette trahison fratricide. Mais si nous n’avons pas encore abdiqué, face à la multitude, face à la masse cosmopolite, nous les dignes fils de la terre d’Europe C’est que nous te haïssons, félon, plus encore que les hiérodules du poison éternel. |
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6. | Nécropole | 08:09 | Show lyrics |
La flamme vacille, puisse-t-elle toujours briller. J’entends la rumeur de l’ultime soubresaut et bientôt le tonnerre de la reconquête vengeresse. Je connais les voies du sang, elles ne mentent jamais La Grande Race, acculée au bord du gouffre, se réinvente. Le constructeur contre le destructeur. La renaissance contre la régression. Ostara ! Réveille-toi. Que ton œil brûle les idoles des mythes de notre asservissement, Que ton aura abatte les temples érigés par la malfaisance, Que la lumière dépasse enfin les ténèbres. Ils avaient creusé ma sépulture, prête à accueillir ma dépouille mutilée « Hosanna ! » hurlaient ces fossoyeurs lippeux voyant l’Astre s’obscurcir Mais je ne serai pas le martyr d’un monde de putrescence insondable Et tandis que j’imprime dans leur gorge le feu de ma haine, Les rayons du soleil noir transpercent déjà les impurs et purifient les reliquats du marasme millénaire. Je rallume la flamme. Je restaure ma Nécropole. |
|||
44:42 |
Nécropole
Members | |
---|---|
Original line-up | |
Band members | |
Amertume | Guitars, Bass, Songwriting |
Déchéance | Vocals, Lyrics |
Brume | Drums |
Miscellaneous staff | |
Brume | Recording |
Tracks | |||
---|---|---|---|
Side A | |||
1. | Le ver immonde | 04:33 | Show lyrics |
Sion, pute infâme, je vomirai sur ton visage hideux, ma haine primordiale Sodome, pluie de flammes, impureté, mon bras sera la vengeance ancestrale Vampirisme, souille, gangrène, monstre de chaire et d’envie Tu te gargarises de la médiocrité, ver immonde, ignominie Tes victimes gémissent, leurs os se broient tu maintiens ton étreinte Tes fils sèment les germes putrides de la décadence Ta race perdure, trichine, notre honneur se meurt Sion, citadelle, du dégoût, je te briserai, dusse-je traverser une mer de lames acérées Le sang se mêle aux fluides visqueux esclaffe-toi de cette corruption dont tu es l’éternelle instigatrice Sion la maudite, ta destruction sera notre renaissance, notre gloire retrouvée . ...Et même si mon corps doit être le seul barrage, je tarirai ce flot d’immondices. |
|||
2. | Perdition de l’atavisme cristallin | 08:40 | Show lyrics |
Fléau de l’abject, Les rats pervertissent, s’immiscent et détruisent Tous nos fruits, flétris, pourris Je maudis mille fois l’intarissable source d’abomination, cette horreur endémique Perdition des âmes affaiblies prêtes à céder sous les assauts incessants des charognards. Le venin instigué n’a d’égal que votre blâme d’accepter dans vos lits ces youtres enragés Alliés de la sauvageries, soumis au culte fétide Esclaves vous resterez, le calvaire calciné, le temple à nouveau érigé. Tant de sang pur, perdu dans ces miasmes judaïque Communiez dans le stupre, et sombrez dans l’abime Quel espoir pour l’atavisme cristallin ? Bafoué et violé Pour l’héritage ancestral ? Piétiné et souillé Prosternez-vous devant le grotesque, perdez toute volonté A genoux devant le difforme Yahvé, asservis à jamais. |
|||
3. | Souveraineté du maudit | 09:50 | Show lyrics |
Figure messianique qui dans un nuage de souffre S’évanouit aux yeux de l’impie Jouissant de la faiblesse de l’humain, malléable Qui dans la débauche, Trouvera une éphémère raison à son anecdotique existence Sans partage, l’ermite de l’intolérable règne sur ce torrent d’âmes damnées qui charrient vices et atrocités Il s’immisce, intrigue, et dévore Ils l’acceptent, se méprennent et s’abaissent non serviam, non serviam La beauté du diable les prive de volonté Et sa laideur les assassine Le Tentateur est tout puissant Par la grâce des doctrines mortifères. |
|||
Side B | |||
4. | Immanence | 07:29 | Show lyrics |
Mes errances m’ont amené aux limites du Septentrion. Don des nuées boréales, issu du limon cosmique, J’y ai retrouvé le Surhomme, Empalé sur la souche morte d’Yggdrasil. Emanations putrides, les nécrosyrtes sont repus Ils ont rendu vicié l’air pur que jadis je respirais à pleins poumons Avant la profanation, avant la stridente caelifère Avant que tous ne sombrent, inexorablement, dans la folie J’ai contemplé l’Atroce, les reliquats de gloire piétinés Avant la compromission, avant la Géhenne Avant que tous n’abandonnent la voie de leurs Pères J’ai contemplé l’Atroce et ses territoires innommables Ses chemin sinueux que tous empruntèrent, préférant le précipice à la Lumière. Témoin de la déchéance, Je me soustrais à la l’étreinte suffocante des obscurantistes Qui m’interdisent ce à quoi mon sang me donne droit Qu’ils soient pris par la peste ! Que leurs peaux huileuses ornent le trône des Sisamnes. Le statut de dieux est nôtre. |
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5. | Trahison fratricide | 06:01 | Show lyrics |
L’ennemi séculaire qui jadis te caressait l’échine, a vicieusement planté ses ongles immondes dans ta chaire. Et toi, victime désignée, rongée par des remords qui n’avaient pas lieu d’être, Tu as supplié la vermine de t’offrir le pardon, qui a permis aux cancrelats de se multiplier. Les plaintes de l’Aryen, devenues suppliques, n’accompagnent plus que le fracas de ses chaînes Quel sort misérable pour celui qui a privilégié les voies malsaines du mélange des sangs Nous te renions feu notre Frère comme tu nous as renié. Tu as dilapidé l’héritage, tu l’as offert aux vautours, comme tu l’offres désormais à la merci de tes maîtres. Tu as cultivé notre perte, l’as-tu même souhaitée, ignoble traître ? Le désert qui a vomi tes rois ne saura absorber toute la peine Engendrée par cette trahison fratricide. Mais si nous n’avons pas encore abdiqué, face à la multitude, face à la masse cosmopolite, nous les dignes fils de la terre d’Europe C’est que nous te haïssons, félon, plus encore que les hiérodules du poison éternel. |
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6. | Nécropole | 08:09 | Show lyrics |
La flamme vacille, puisse-t-elle toujours briller. J’entends la rumeur de l’ultime soubresaut et bientôt le tonnerre de la reconquête vengeresse. Je connais les voies du sang, elles ne mentent jamais La Grande Race, acculée au bord du gouffre, se réinvente. Le constructeur contre le destructeur. La renaissance contre la régression. Ostara ! Réveille-toi. Que ton œil brûle les idoles des mythes de notre asservissement, Que ton aura abatte les temples érigés par la malfaisance, Que la lumière dépasse enfin les ténèbres. Ils avaient creusé ma sépulture, prête à accueillir ma dépouille mutilée « Hosanna ! » hurlaient ces fossoyeurs lippeux voyant l’Astre s’obscurcir Mais je ne serai pas le martyr d’un monde de putrescence insondable Et tandis que j’imprime dans leur gorge le feu de ma haine, Les rayons du soleil noir transpercent déjà les impurs et purifient les reliquats du marasme millénaire. Je rallume la flamme. Je restaure ma Nécropole. |
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44:42 |
Nécropole
Members | |
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Original line-up | |
Band members | |
Amertume | Guitars, Bass, Songwriting |
Déchéance | Vocals, Lyrics |
Brume | Drums |
Miscellaneous staff | |
Brume | Recording |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Le ver immonde | 04:33 | Show lyrics |
Sion, pute infâme, je vomirai sur ton visage hideux, ma haine primordiale Sodome, pluie de flammes, impureté, mon bras sera la vengeance ancestrale Vampirisme, souille, gangrène, monstre de chaire et d’envie Tu te gargarises de la médiocrité, ver immonde, ignominie Tes victimes gémissent, leurs os se broient tu maintiens ton étreinte Tes fils sèment les germes putrides de la décadence Ta race perdure, trichine, notre honneur se meurt Sion, citadelle, du dégoût, je te briserai, dusse-je traverser une mer de lames acérées Le sang se mêle aux fluides visqueux esclaffe-toi de cette corruption dont tu es l’éternelle instigatrice Sion la maudite, ta destruction sera notre renaissance, notre gloire retrouvée . ...Et même si mon corps doit être le seul barrage, je tarirai ce flot d’immondices. |
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2. | Perdition de l’atavisme cristallin | 08:40 | Show lyrics |
Fléau de l’abject, Les rats pervertissent, s’immiscent et détruisent Tous nos fruits, flétris, pourris Je maudis mille fois l’intarissable source d’abomination, cette horreur endémique Perdition des âmes affaiblies prêtes à céder sous les assauts incessants des charognards. Le venin instigué n’a d’égal que votre blâme d’accepter dans vos lits ces youtres enragés Alliés de la sauvageries, soumis au culte fétide Esclaves vous resterez, le calvaire calciné, le temple à nouveau érigé. Tant de sang pur, perdu dans ces miasmes judaïque Communiez dans le stupre, et sombrez dans l’abime Quel espoir pour l’atavisme cristallin ? Bafoué et violé Pour l’héritage ancestral ? Piétiné et souillé Prosternez-vous devant le grotesque, perdez toute volonté A genoux devant le difforme Yahvé, asservis à jamais. |
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3. | Souveraineté du maudit | 09:50 | Show lyrics |
Figure messianique qui dans un nuage de souffre S’évanouit aux yeux de l’impie Jouissant de la faiblesse de l’humain, malléable Qui dans la débauche, Trouvera une éphémère raison à son anecdotique existence Sans partage, l’ermite de l’intolérable règne sur ce torrent d’âmes damnées qui charrient vices et atrocités Il s’immisce, intrigue, et dévore Ils l’acceptent, se méprennent et s’abaissent non serviam, non serviam La beauté du diable les prive de volonté Et sa laideur les assassine Le Tentateur est tout puissant Par la grâce des doctrines mortifères. |
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Side B | |||
4. | Immanence | 07:29 | Show lyrics |
Mes errances m’ont amené aux limites du Septentrion. Don des nuées boréales, issu du limon cosmique, J’y ai retrouvé le Surhomme, Empalé sur la souche morte d’Yggdrasil. Emanations putrides, les nécrosyrtes sont repus Ils ont rendu vicié l’air pur que jadis je respirais à pleins poumons Avant la profanation, avant la stridente caelifère Avant que tous ne sombrent, inexorablement, dans la folie J’ai contemplé l’Atroce, les reliquats de gloire piétinés Avant la compromission, avant la Géhenne Avant que tous n’abandonnent la voie de leurs Pères J’ai contemplé l’Atroce et ses territoires innommables Ses chemin sinueux que tous empruntèrent, préférant le précipice à la Lumière. Témoin de la déchéance, Je me soustrais à la l’étreinte suffocante des obscurantistes Qui m’interdisent ce à quoi mon sang me donne droit Qu’ils soient pris par la peste ! Que leurs peaux huileuses ornent le trône des Sisamnes. Le statut de dieux est nôtre. |
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5. | Trahison fratricide | 06:01 | Show lyrics |
L’ennemi séculaire qui jadis te caressait l’échine, a vicieusement planté ses ongles immondes dans ta chaire. Et toi, victime désignée, rongée par des remords qui n’avaient pas lieu d’être, Tu as supplié la vermine de t’offrir le pardon, qui a permis aux cancrelats de se multiplier. Les plaintes de l’Aryen, devenues suppliques, n’accompagnent plus que le fracas de ses chaînes Quel sort misérable pour celui qui a privilégié les voies malsaines du mélange des sangs Nous te renions feu notre Frère comme tu nous as renié. Tu as dilapidé l’héritage, tu l’as offert aux vautours, comme tu l’offres désormais à la merci de tes maîtres. Tu as cultivé notre perte, l’as-tu même souhaitée, ignoble traître ? Le désert qui a vomi tes rois ne saura absorber toute la peine Engendrée par cette trahison fratricide. Mais si nous n’avons pas encore abdiqué, face à la multitude, face à la masse cosmopolite, nous les dignes fils de la terre d’Europe C’est que nous te haïssons, félon, plus encore que les hiérodules du poison éternel. |
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6. | Nécropole | 08:09 | Show lyrics |
La flamme vacille, puisse-t-elle toujours briller. J’entends la rumeur de l’ultime soubresaut et bientôt le tonnerre de la reconquête vengeresse. Je connais les voies du sang, elles ne mentent jamais La Grande Race, acculée au bord du gouffre, se réinvente. Le constructeur contre le destructeur. La renaissance contre la régression. Ostara ! Réveille-toi. Que ton œil brûle les idoles des mythes de notre asservissement, Que ton aura abatte les temples érigés par la malfaisance, Que la lumière dépasse enfin les ténèbres. Ils avaient creusé ma sépulture, prête à accueillir ma dépouille mutilée « Hosanna ! » hurlaient ces fossoyeurs lippeux voyant l’Astre s’obscurcir Mais je ne serai pas le martyr d’un monde de putrescence insondable Et tandis que j’imprime dans leur gorge le feu de ma haine, Les rayons du soleil noir transpercent déjà les impurs et purifient les reliquats du marasme millénaire. Je rallume la flamme. Je restaure ma Nécropole. |
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44:42 |
Solarité
Members | |
---|---|
Band members | |
Amertume | Guitars, Bass, Drums, Vocals |
Miscellaneous staff | |
Amertume | Mixing, Layout |
M. A. | Mastering |
Tracks | |||
---|---|---|---|
1. | Aurore | 05:28 | Show lyrics |
Glorieuse lueur matutine Qui surgit des tréfonds de l’abîme Figure hiératique et austère Gardienne de la frange crépusculaire Ton joyau céleste me montre encore la voix tracée Lorsqu’au Levant l’horizon irisé Illumine les cimes de tes doigts de rosée Héraut sacré, sang d’Hélios Ta venue annonce celle du soleil invaincu Quand point l’aube, à la robe de safran Tes voiles moirés brisant la nuit des temps Tes iris d’or pur, ignés, incandescents Balaient d’un regard les terreurs éphialtiques Et tes larmes amères ascendent aux nuées Ô Première née... Qu’Indra te libère du Ver Et que vienne le jour dans ta gloire Que ta vérité dévoile le bacille Et consume lentement les striges sept fois maudits Eos ! Ton Front ceint de clarté divine Tranche telle une lame les ténèbres nocturnes Ausos ! Ton chariot un fleuve d’or Foudroyant les démiurges, inondant les vallées Apportant la nouvelle de la loi éternelle Immortelle lumière conquérante Avant de disparaître, Hespéra, au Ponant Toi par qui arrive la fin de l’Âge Noir Puisses-tu purger la fange crépusculaire. |
|||
2. | Ferments de corruption | 08:28 | Show lyrics |
Vermineuse plique, gale endémique Affichant sur sa race les stigmates de l’esprit Ferments de corruption, levures hébraïques Gonflant tels des cadavres les dépouilles des Empires Pouilleux chameliers surgis du désert Se sont couronnés rois de toute la Terre Election divine autoproclamée N’étaient que les miasmes du démiurge Yahveh Incapables de contenir la frénésie lubrique De vos femelles immondes, sournoises et impies Forcés d’ériger tel trône hystérique La lignée maternelle, seul espoir de survie L’inversion totale posée au faite du monde La perversion faite Loi, codifiée à outrance Caravansérail mental d’exégèses futiles Ergotant doctement non du sexe des anges Mais de celui de vos filles Vampires pédovores, mutilateurs infantiles De la Tradition vous fîtes un codex de bile Alchimistes fébriles de la destruction Qui par leur rites funestes ont changé l’or en plomb Sycophantes vicieux, casuistiques insanes Qui frappent d’anathème le désir de Vie Doués par leur Dieu de la seule tromperie Afin de prolonger la souche maudite La tumeur judaïque réduit l’hôte à merci Il voit son idéal souillé et détruit Ce qu’il a de plus cher, rendu orde et immonde Par la lèpre du Monde Le destructeur oeuvre à tout araser En un magma informe de glaise sans volonté Le creuset doit détruire toute altérité Pour hâter la venue de l’idole abhorrée Race de vipères, ennemis cosmiques, Rois du siècle, rois du cycle Provocateurs eschatologiques Votre paix suprême est un rêve de ruine L’éternel retour exige un sacrifice Oblation des vestiges putrides La balance est formelle La "race" יהודי doit mourir Ceux qui périront sont déjà morts, Je ne suis que l’instrument, illuminé Entérinant par l’épée le jugement sanctifié.י |
|||
3. | Le culte du héros | 08:17 | Show lyrics |
Leçon fut prise de Prométhée Démesure enchaînée, l’hybris crucifié Ses oracles infertiles, son nom usurpé Attendait un héros pour ses liens lui briser Pour expier dans la bile cette ivresse insensée Point d’orgueil titanique, ni transe extatique Nulle espérance fiévreuse, frénésie messianique Mais sapience et certitude, impassibles auspices Que le glaive olympien dispensera justice Tel, le législateur et discriminateur Jaugeant les imparfaits, à l’aune ancestrale D’un habile coup de taille il séparera ce qui était mêlé Par les desseins néfastes des démiurges tarés J’étais prisonnier du néant, perdu Tout environné de noires nuées Mais les ténèbres ne pèsent plus Lorsque l’on sait marcher vers l’aurore Je lève l’étendard, émergeant des décombres J’éveille les héros maudits Ultime bataille pour la vérité pénultième Je déchirerai le voile Tandis que se défile l’étoffe De l’illusion fantasmagorique Par le don trop longtemps repoussé L’anamnèse accomplie, j’écraserai l’infâme Une ordalie céleste, wergild cosmique Châtiment réclamé sur ces nuques offertes Et par cet holocauste de sang et Feu sacré Baptise de lumière les guerriers deux-fois nés ! Ainsi je chante le retour d’Astrée De Justice et Némésis De l’ancien règne Saturnien Par une nouvelle race d’Hommes venus des Cieux Leçon fut prise de Prométhée Pour guider les pas des enfants de Borée L’hybris surmonté par la geste héroïque Les vestiges de l’Âge d’Or par Alcée restaurés |
|||
4. | La voie est la vertu | 08:59 | Show lyrics |
Ouroboros est brisé, le fil rompu Esprit sarclé, orphelin et nu A tâtons dans le labyrinthe obscur Absolu, que ta voie soit ma vertu Ariane a tissé un écheveau mêlé Que l’épée seule saura dénouer Pour me libérer du dédale Sans mes ailes brûler Prends garde, toi qui Contemple du char le trajet La chute est brusque Pour qui ascent sans piété A travers la clarté mystérieuse Apparaît le monarque céleste Le sceptre est dans sa main gauche Souverain déchu du coeur des hommes Son absence une plaie béante La noire égide est dans sa droite Je suis la voie, je suis la clef Le rameau orphique, ignipotent Qui ouvre béantes les portes de la Mort Et annonce, aube d’or, ton éveil imminent N’aurais-je préféré m’endormir Du sommeil de la Terre ? Mais cette passion est chose de chair Et la doit défendre par ma chair Et l’esprit "Je souffre et je désire" Contre l’engeance de Surtr, qui grouillante Du Sud vient refermer le cercle Hommerie d’apocalypse, noires multitudes serves Lors le cor retentit, les mondes s’ouvrent Amors, et à travers elle Quand les Borées me voudraient fléchir Je resterais, tel le frêne Lié au rox, la cime en Ciel, Les racines plongées jusqu’à Hel Sauvé d’Elivagar, cent fois guidé par ta Lumière Lié à l’Enfer Le souffle figé vers le firmament |
|||
5. | L’orbe du monde | 05:06 | instrumental |
(loading lyrics...) | |||
6. | Sous l’égide d’Éros | 09:17 | Show lyrics |
Elle porte la flamme, feu céleste Point dérobé, atteint par nous-mêmes Clé par laquelle nous recouvrons Thulé Aux côtés et au sein des Dieux Effroi vertigineux dans la contemplation De l’abîme de ta nudité, vérité pure Que celui sans race ignore Absolu jadis perdu, Ne t’ai-je point toujours connue ? Traverser la dryade, vers l’unité Un voyage au bout de la Nuit Pour triompher de l’obscur despote La couche devient l’autel de nocturnes holocaustes Mais du démon ne serait point esclave Car ce n’est pas pour Elle que brûle mon sein Mais bien pour la lumière immortelle Mania d’exaltation divine Insatiable eucharistie Cette soif qui ne peut être étanchée, Tonneau des Danaïdes par passion, réifié Nous briserons les idoles, Jusqu’à la vertu même, Par-delà bien et mal, Sous l’indulgence des éternels Je me défie de l’orgueil des Uns des origines Je fais de l’hétaïre sélène une épousée royale Le mariage de l’Etre et de la Puissance Dont la danse sur mon corps immobile Annonce le retour Eros Triomphant, torche en main Mon désir, un arc tendu Dont la flèche fendrait verticalement l’éther Restaure mon intégrité, fais moi Un Rend moi à mon être primordial, Dans l’étreinte où la mort s’efface, A l’éternité |
|||
45:35 |
Solarité
Members | |
---|---|
Original line-up | |
Band members | |
Amertume | Guitars, Bass, Drums, Vocals |
Miscellaneous staff | |
Amertume | Mixing, Layout |
M. A. | Mastering |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Aurore | 05:28 | Show lyrics |
Glorieuse lueur matutine Qui surgit des tréfonds de l’abîme Figure hiératique et austère Gardienne de la frange crépusculaire Ton joyau céleste me montre encore la voix tracée Lorsqu’au Levant l’horizon irisé Illumine les cimes de tes doigts de rosée Héraut sacré, sang d’Hélios Ta venue annonce celle du soleil invaincu Quand point l’aube, à la robe de safran Tes voiles moirés brisant la nuit des temps Tes iris d’or pur, ignés, incandescents Balaient d’un regard les terreurs éphialtiques Et tes larmes amères ascendent aux nuées Ô Première née... Qu’Indra te libère du Ver Et que vienne le jour dans ta gloire Que ta vérité dévoile le bacille Et consume lentement les striges sept fois maudits Eos ! Ton Front ceint de clarté divine Tranche telle une lame les ténèbres nocturnes Ausos ! Ton chariot un fleuve d’or Foudroyant les démiurges, inondant les vallées Apportant la nouvelle de la loi éternelle Immortelle lumière conquérante Avant de disparaître, Hespéra, au Ponant Toi par qui arrive la fin de l’Âge Noir Puisses-tu purger la fange crépusculaire. |
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2. | Ferments de corruption | 08:28 | Show lyrics |
Vermineuse plique, gale endémique Affichant sur sa race les stigmates de l’esprit Ferments de corruption, levures hébraïques Gonflant tels des cadavres les dépouilles des Empires Pouilleux chameliers surgis du désert Se sont couronnés rois de toute la Terre Election divine autoproclamée N’étaient que les miasmes du démiurge Yahveh Incapables de contenir la frénésie lubrique De vos femelles immondes, sournoises et impies Forcés d’ériger tel trône hystérique La lignée maternelle, seul espoir de survie L’inversion totale posée au faite du monde La perversion faite Loi, codifiée à outrance Caravansérail mental d’exégèses futiles Ergotant doctement non du sexe des anges Mais de celui de vos filles Vampires pédovores, mutilateurs infantiles De la Tradition vous fîtes un codex de bile Alchimistes fébriles de la destruction Qui par leur rites funestes ont changé l’or en plomb Sycophantes vicieux, casuistiques insanes Qui frappent d’anathème le désir de Vie Doués par leur Dieu de la seule tromperie Afin de prolonger la souche maudite La tumeur judaïque réduit l’hôte à merci Il voit son idéal souillé et détruit Ce qu’il a de plus cher, rendu orde et immonde Par la lèpre du Monde Le destructeur oeuvre à tout araser En un magma informe de glaise sans volonté Le creuset doit détruire toute altérité Pour hâter la venue de l’idole abhorrée Race de vipères, ennemis cosmiques, Rois du siècle, rois du cycle Provocateurs eschatologiques Votre paix suprême est un rêve de ruine L’éternel retour exige un sacrifice Oblation des vestiges putrides La balance est formelle La "race" יהודי doit mourir Ceux qui périront sont déjà morts, Je ne suis que l’instrument, illuminé Entérinant par l’épée le jugement sanctifié.י |
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3. | Le culte du héros | 08:17 | Show lyrics |
Leçon fut prise de Prométhée Démesure enchaînée, l’hybris crucifié Ses oracles infertiles, son nom usurpé Attendait un héros pour ses liens lui briser Pour expier dans la bile cette ivresse insensée Point d’orgueil titanique, ni transe extatique Nulle espérance fiévreuse, frénésie messianique Mais sapience et certitude, impassibles auspices Que le glaive olympien dispensera justice Tel, le législateur et discriminateur Jaugeant les imparfaits, à l’aune ancestrale D’un habile coup de taille il séparera ce qui était mêlé Par les desseins néfastes des démiurges tarés J’étais prisonnier du néant, perdu Tout environné de noires nuées Mais les ténèbres ne pèsent plus Lorsque l’on sait marcher vers l’aurore Je lève l’étendard, émergeant des décombres J’éveille les héros maudits Ultime bataille pour la vérité pénultième Je déchirerai le voile Tandis que se défile l’étoffe De l’illusion fantasmagorique Par le don trop longtemps repoussé L’anamnèse accomplie, j’écraserai l’infâme Une ordalie céleste, wergild cosmique Châtiment réclamé sur ces nuques offertes Et par cet holocauste de sang et Feu sacré Baptise de lumière les guerriers deux-fois nés ! Ainsi je chante le retour d’Astrée De Justice et Némésis De l’ancien règne Saturnien Par une nouvelle race d’Hommes venus des Cieux Leçon fut prise de Prométhée Pour guider les pas des enfants de Borée L’hybris surmonté par la geste héroïque Les vestiges de l’Âge d’Or par Alcée restaurés |
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Side B | |||
4. | La voie est la vertu | 08:59 | Show lyrics |
Ouroboros est brisé, le fil rompu Esprit sarclé, orphelin et nu A tâtons dans le labyrinthe obscur Absolu, que ta voie soit ma vertu Ariane a tissé un écheveau mêlé Que l’épée seule saura dénouer Pour me libérer du dédale Sans mes ailes brûler Prends garde, toi qui Contemple du char le trajet La chute est brusque Pour qui ascent sans piété A travers la clarté mystérieuse Apparaît le monarque céleste Le sceptre est dans sa main gauche Souverain déchu du coeur des hommes Son absence une plaie béante La noire égide est dans sa droite Je suis la voie, je suis la clef Le rameau orphique, ignipotent Qui ouvre béantes les portes de la Mort Et annonce, aube d’or, ton éveil imminent N’aurais-je préféré m’endormir Du sommeil de la Terre ? Mais cette passion est chose de chair Et la doit défendre par ma chair Et l’esprit "Je souffre et je désire" Contre l’engeance de Surtr, qui grouillante Du Sud vient refermer le cercle Hommerie d’apocalypse, noires multitudes serves Lors le cor retentit, les mondes s’ouvrent Amors, et à travers elle Quand les Borées me voudraient fléchir Je resterais, tel le frêne Lié au rox, la cime en Ciel, Les racines plongées jusqu’à Hel Sauvé d’Elivagar, cent fois guidé par ta Lumière Lié à l’Enfer Le souffle figé vers le firmament |
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5. | L’orbe du monde | 05:06 | instrumental |
(loading lyrics...) | |||
6. | Sous l’égide d’Éros | 09:17 | Show lyrics |
Elle porte la flamme, feu céleste Point dérobé, atteint par nous-mêmes Clé par laquelle nous recouvrons Thulé Aux côtés et au sein des Dieux Effroi vertigineux dans la contemplation De l’abîme de ta nudité, vérité pure Que celui sans race ignore Absolu jadis perdu, Ne t’ai-je point toujours connue ? Traverser la dryade, vers l’unité Un voyage au bout de la Nuit Pour triompher de l’obscur despote La couche devient l’autel de nocturnes holocaustes Mais du démon ne serait point esclave Car ce n’est pas pour Elle que brûle mon sein Mais bien pour la lumière immortelle Mania d’exaltation divine Insatiable eucharistie Cette soif qui ne peut être étanchée, Tonneau des Danaïdes par passion, réifié Nous briserons les idoles, Jusqu’à la vertu même, Par-delà bien et mal, Sous l’indulgence des éternels Je me défie de l’orgueil des Uns des origines Je fais de l’hétaïre sélène une épousée royale Le mariage de l’Etre et de la Puissance Dont la danse sur mon corps immobile Annonce le retour Eros Triomphant, torche en main Mon désir, un arc tendu Dont la flèche fendrait verticalement l’éther Restaure mon intégrité, fais moi Un Rend moi à mon être primordial, Dans l’étreinte où la mort s’efface, A l’éternité |
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Band ascii art
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