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Seigneur Voland
Members | |
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Current | |
Xaphan | Vocals (1996-2002, 2004, 2019-present) |
Member(bands): Enfeus Lodge, Finis Gloria Dei, Blessed in Sin (live), Funeral, Pereat Mundus, Kristallnacht | |
Rost | Bass (1999-2002, 2004, 2019-present) |
Member(bands): Hayras, Pereat Mundus, Blessed in Sin, Finis Gloria Dei, Kristallnacht | |
Rimmon | Drums (1999-2002, 2004, 2019-present) |
Member(bands): Hexen Holocaust, Malpest, Necroblood, Infect | |
L.F. | Guitars (1999-2002, 2004, 2019-present) |
Member(bands): Desolation Triumphalis, Kristallnacht, Funeral, Finis Gloria Dei, Final Silence, Pure Desecration | |
Current (Live) | |
Nyarlathotep | Guitars (2019-present) |
Member(bands): A Brooding Body, Nightfog Descends, Sentier des Morts |
# | Discography | Type | Year | |
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1 | Cérémonie chaotique pour un monde mourant... | Split | 2000 | Show album |
2 | Seigneur Voland | EP | 2001 | Show album |
3 | Gathered Under the Banner of Concilium | Split | 2001 | Show album |
4 | Live for the Blood | Video | 2001 | Show album |
5 | Céremonie chaotique... pour un monde mourant - Acte II | Split | 2002 | Show album |
6 | Consumatum Est | Compilation | 2003 | Show album |
7 | Seigneur Voland - Final Stand | Compilation | 2003 | Show album |
8 | Ma Nécropole... Live | Demo | 2004 | Show album |
9 | Cérémonie chaotique pour un monde mourant: Acte I & II | Split | 2008 | Show album |
10 | Black Metal Blitzkrieg | Live album | 2016 | Show album |
Cérémonie chaotique pour un monde mourant...
Album versions
Release date | Label | Catalog ID | Format | Description |
---|---|---|---|---|
2000 | Black and Dark Mansion | BDM 006 | Cassette | Limited edition |
2000 | Black and Dark Mansion | BDM 006 | Cassette | Limited edition |
July 2001 | Black and Dark Mansion | BDM 006 | Cassette | Limited edition, Reissue |
Members | |
---|---|
Band members | |
Seigneur Voland | |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Chemin de Haine | |
Malkira Eskhanth | Guitars, Bass |
Armathyss | Drums, Guitars |
Vlad Drakul | Vocals |
Guest/Session | |
Patrick | Drums, Bass |
Miscellaneous staff | |
L.F. | Music |
Xaphan | Lyrics |
Malkira Eskhanth | Music, Lyrics |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Seigneur Voland - Les jours de Dieu sont comptés | 03:52 | Show lyrics |
Les jours de dieu sont comptés et je vois Nos horizons en cohortes obscures de démons Qui se nourrissent au sépulcre de l’humanité Gavant du subtil poison qui fait dire : je te bannis Yahvé Toi, l’insulte, qui n’a jamais compté, Toi, l’abject mensonge, tu as souillé nos panthéons D’un flot de larmes et d’anathèmes inféconds Prends garde si Babylone sévit...Jérusalem va brûler « Il a voulu que son dieu foutit également. Il détache du ciel cette haïssable portion de lui-même. On s’imagine peut être que c’est porté sur des rayons célestes, au milieu du cortèges des anges que va apparaître cette sublime créature. Pas un mot, c’est dans le sein d’une catin juive, au beau milieu d’une étable à cochons, que s’annonce le seigneur qui vient sauver la terre ». (Marquis de Sade). Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’horrible chose que vous prêchez La fin du Christ a sonné et je crois que sa mémoire ,même morte, est digne de l’humiliation Car nous avons la conscience noire du règne athée qui lave des souillures à la prosternation de l’agnelle crucifiée Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’infect culte qui la repaît Autrefois, dieu était gai comme un pinçon roucoulant sur son perchoir Mais aujourd’hui l’arbre se rompt et je perçois son fils choir Pas de pitié, pas de remords, ne vois tu pas qu’il est trop tard Qu ‘il flanche ce charpentier bâtard sur son destin de quelques planches. |
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2. | Seigneur Voland - Ma nécropole | 02:57 | |
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3. | Seigneur Voland - Des Juifs et autres germes de pourriture | 03:05 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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Side B | |||
4. | Chemin de Haine - Englouti par les ombres | 04:51 | |
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5. | Chemin de Haine - Le rite infernal | 05:36 | |
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20:21 |
Seigneur Voland
Album versions
Release date | Label | Catalog ID | Format | Description |
---|---|---|---|---|
2001 | Aura Mystique Productions | AMCD001 | CD | |
2003 | Aura Mystique Productions | AMCD001 | CD | Reissue |
Members | |
---|---|
Band members | |
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Guest/Session | |
Overlord Nasty Metatheos | Vocals (additional) (on track 5) |
Miscellaneous staff | |
L.F. | Composition |
Xaphan | Lyrics |
Tracks | |||
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1. | Aigle conquérant (Titus victorieux) | 03:29 | Show lyrics |
AIGLE CONQUERANT (TITUS VICTORIEUX) « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:09 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:50 | Show lyrics |
SUR LES RUINES ET LES CENDRES DE SION Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Agonie (Outro) | 05:42 | |
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18:31 |
Gathered Under the Banner of Concilium
Album versions
Release date | Label | Catalog ID | Format | Description |
---|---|---|---|---|
2001 | WarSpirit | WSB CD001 | CD | |
January 2004 | WarSpirit | WSBCD001/002 | CD | Re-press co-produced with Semen And Blood label |
Members | |
---|---|
Band members | |
Seigneur Voland | |
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
Xaphan | Vocals, Lyrics |
L.F. | Guitars |
Blessed in Sin | |
Black Christ | Guitars |
Overlord Nasty Metatheos | Vocals, Lyrics |
Belial | Keyboards |
Kristallnacht | |
L.F. | Vocals, Guitars, Lyrics |
Malkira | Vocals (additional) |
Hylgaryss | Drum programming |
Guest/Session | |
Storm | Bass |
Serge | Drums |
Xaphan | Vocals (additional) (track 7) |
Miscellaneous staff | |
Rost | Recording, Mixing |
Tracks | |||
---|---|---|---|
1. | Kristallnacht - Introduction to Bloodcult | 02:57 | instrumental |
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2. | Kristallnacht - Legitimate Defence (The Law of Blood) | 03:10 | Show lyrics |
Blood orders to natural Aryan justice Hailing strength for our preservation Pride and glory for those who revere it For this fluid forever seals our destiny A legitimate defense... A call from within our veins Our identity we cannot deny Behind the mask of the Man’s rights The sons of Zion decided our loss A healthy discrimination... The love of ourselves Our racial consciousness is criminal for them Heirs and guardians of the NS flame Breaking the notion of an universal dualism A legitimate defense... A call from within our veins Our identity we cannot deny Behind the mask of the Man’s rights The sons of Zion decided our loss The < brings slow death A disease that infected our race A logical measure to adopt Kill what is killing us! |
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3. | Blessed in Sin - Himmelfahrtskommando | 06:18 | |
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4. | Seigneur Voland - Consumatum Est | 04:15 | |
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5. | Seigneur Voland - Quand les Svastikas étoilaient le Ciel | 03:03 | |
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6. | Seigneur Voland - Seigneur Voland | 04:11 | |
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7. | Blessed in Sin - The Gate of Nanna (Beherit cover) | 04:57 | Show lyrics |
The dream descends to the region of moon To the land, the sphere of eternal sin A half light, dark the realm of Nanna The realm of spirits and the father of the gods Oh, shine of moon, of the astral gods It ravishes, it calls us to sin... Lord Nanna, of the race of Anu Lord Nanna, called sin Lord Nanna, o hero of the gods Lord Nanna, the gate of sin... Ave Satan, Ave Lucifer, Ave Satan, Alla Xul Ave Satan, Ave Lucifer, Ave Satan, Gigim Xul ...Sleep |
|||
28:51 |
Live for the Blood
Members | |
---|---|
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
Tracks | |||
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1. | Aigle Conquerant (Titus Victorieux) | 03:12 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 02:58 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:23 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 03:00 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Danse of Eternal Shadow (Darkthrone cover) | 03:26 | Show lyrics |
I must embrace visual Hell to satisfy us Rape the whores in blasphemy I am him while I feast upon your flesh Glance into my eyes and see the darkest shadows dancing Playing in the desert of my life Burning, - and my soul is descending... Lover of all - Face the apocalypse You fade away under the black rain and flowers remain Flowers to step on, flowers to burn Am I ready for the god below Red flesh to penetrate my skin To steel my soul away To the grave I seek Until I’m feeling weak... But there’s fire In my heart, in my eyes In his body, in his eyes And in his lovely kingdom |
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6. | Consumatum Est | 03:40 | |
(loading lyrics...) | |||
7. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 02:55 | |
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8. | Seigneur Voland | 04:01 | |
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26:35 |
Céremonie chaotique... pour un monde mourant - Acte II
Members | |
---|---|
Band members | |
Seigneur Voland | |
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Chemin de Haine | |
Mal’Eskhanth | Vocals, Bass, Drums |
Guest/Session | |
L.F. | Guitars (on "Au Seuil De Ma Demeure") |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Seigneur Voland - Hommerie: Anima Masse | 03:21 | |
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2. | Seigneur Voland - Jeunesse épuration | 03:30 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
|||
Side B | |||
3. | Chemin de Haine - Au seuil de ma demeure | 05:21 | |
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12:12 |
Consumatum Est
Album versions
Release date | Label | Catalog ID | Format | Description |
---|---|---|---|---|
2003 | WarSpirit | WSRT003 | Cassette | |
2016 | Casern Bitch Productions | CBCD-03 / SS-06 | CD | |
2016 | Casern Bitch Productions | CBLP-01 / SS-06 | 12" vinyl | Limited edition |
October 12th, 2019 | Blackest Records | Digital | ||
October 12th, 2019 | Blackest Records | BR 007 / ZDR 068 | CD | |
2020 | Hammer of Damnation | HOD209 | CD | Digipak |
September 12th, 2020 | IG Farben | 12" vinyl |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Aigle conquérant (Titus Victorieux) | 03:29 | Show lyrics |
« Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:09 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:50 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Agonie (Outro) | 05:42 | |
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6. | Consumatum Est | 04:13 | |
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7. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
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8. | Seigneur Voland | 04:09 | |
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9. | Hommerie : Animal-masse | 03:21 | |
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10. | Jeunesse épuration | 03:30 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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Side B | |||
11. | Le cancer moral du désert | 03:31 | |
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12. | Dance of Eternal Shadows (Darkthrone cover) | 03:28 | Show lyrics |
I must embrace visual Hell to satisfy us Rape the whores in blasphemy I am him while I feast upon your flesh Glance into my eyes and see the darkest shadows dancing Playing in the desert of my life Burning, - and my soul is descending... Lover of all - Face the apocalypse You fade away under the black rain and flowers remain Flowers to step on, flowers to burn Am I ready for the god below Red flesh to penetrate my skin To steel my soul away To the grave I seek Until I’m feeling weak... But there’s fire In my heart, in my eyes In his body, in his eyes And in his lovely kingdom |
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13. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 03:11 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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46:55 |
Seigneur Voland - Final Stand
Album versions
Release date | Label | Catalog ID | Format | Description |
---|---|---|---|---|
September 2003 | Aura Mystique Productions | AMLP 001 | 12" vinyl | Limited edition |
2005 | Aura Mystique Productions | AMLP 004 | 12" vinyl | Limited edition, Picture disc |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Aigle conquérant (Titus victorieux) | 03:29 | Show lyrics |
« Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...Et autres germes de pourriture | 03:08 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:20 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:50 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Agonie (outro) | 05:38 | |
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6. | Les jours de Dieu sont comptés | 03:56 | Show lyrics |
Les jours de dieu sont comptés et je vois Nos horizons en cohortes obscures de démons Qui se nourrissent au sépulcre de l’humanité Gavant du subtil poison qui fait dire : je te bannis Yahvé Toi, l’insulte, qui n’a jamais compté, Toi, l’abject mensonge, tu as souillé nos panthéons D’un flot de larmes et d’anathèmes inféconds Prends garde si Babylone sévit...Jérusalem va brûler « Il a voulu que son dieu foutit également. Il détache du ciel cette haïssable portion de lui-même. On s’imagine peut être que c’est porté sur des rayons célestes, au milieu du cortèges des anges que va apparaître cette sublime créature. Pas un mot, c’est dans le sein d’une catin juive, au beau milieu d’une étable à cochons, que s’annonce le seigneur qui vient sauver la terre ». (Marquis de Sade). Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’horrible chose que vous prêchez La fin du Christ a sonné et je crois que sa mémoire ,même morte, est digne de l’humiliation Car nous avons la conscience noire du règne athée qui lave des souillures à la prosternation de l’agnelle crucifiée Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’infect culte qui la repaît Autrefois, dieu était gai comme un pinçon roucoulant sur son perchoir Mais aujourd’hui l’arbre se rompt et je perçois son fils choir Pas de pitié, pas de remords, ne vois tu pas qu’il est trop tard Qu ‘il flanche ce charpentier bâtard sur son destin de quelques planches. |
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7. | Ma nécropole | 02:53 | |
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Side B | |||
8. | ...Et autres germes de pourriture | 03:07 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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9. | Consumatum est | 04:16 | |
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10. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
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11. | Seigneur Voland | 04:13 | |
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12. | Hommerie: Animal-masse | 03:08 | |
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13. | Jeunesse épuration | 03:17 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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14. | Le cancer moral du désert | 03:15 | |
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49:31 |
Ma Nécropole... Live
Members | |
---|---|
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Jeunesse Épuration | 03:05 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inverser la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, Charnier purificateur... |
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2. | ...Et Autres Germes de Pourriture | 03:06 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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Side B | |||
3. | Consumatum Est | 03:56 | |
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4. | Ma Nécropole | 03:27 | |
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13:34 |
Cérémonie chaotique pour un monde mourant: Acte I & II
Members | |
---|---|
Band members | |
Seigneur Voland | |
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Chemin de Haine | |
Mal’Eskhanth | Vocals, Bass, Drums |
Guest/Session | |
L.F. | Guitars (on "Au Seuil De Ma Demeure") |
Tracks | |||
---|---|---|---|
1. | Seigneur Voland - Les jours de dieu sont comptés | 03:52 | Show lyrics |
Les jours de dieu sont comptés et je vois Nos horizons en cohortes obscures de démons Qui se nourrissent au sépulcre de l’humanité Gavant du subtil poison qui fait dire : je te bannis Yahvé Toi, l’insulte, qui n’a jamais compté, Toi, l’abject mensonge, tu as souillé nos panthéons D’un flot de larmes et d’anathèmes inféconds Prends garde si Babylone sévit...Jérusalem va brûler « Il a voulu que son dieu foutit également. Il détache du ciel cette haïssable portion de lui-même. On s’imagine peut être que c’est porté sur des rayons célestes, au milieu du cortèges des anges que va apparaître cette sublime créature. Pas un mot, c’est dans le sein d’une catin juive, au beau milieu d’une étable à cochons, que s’annonce le seigneur qui vient sauver la terre ». (Marquis de Sade). Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’horrible chose que vous prêchez La fin du Christ a sonné et je crois que sa mémoire ,même morte, est digne de l’humiliation Car nous avons la conscience noire du règne athée qui lave des souillures à la prosternation de l’agnelle crucifiée Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’infect culte qui la repaît Autrefois, dieu était gai comme un pinçon roucoulant sur son perchoir Mais aujourd’hui l’arbre se rompt et je perçois son fils choir Pas de pitié, pas de remords, ne vois tu pas qu’il est trop tard Qu ‘il flanche ce charpentier bâtard sur son destin de quelques planches. |
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2. | Seigneur Voland - Ma nécropole | 02:57 | |
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3. | Seigneur Voland - Et autres germes de pourriture | 03:05 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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4. | Seigneur Voland - Hommerie : Animal Masse | 03:21 | |
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5. | Seigneur Voland - Jeunesse épuration | 03:30 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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6. | Chemin de Haine - Engloutit par les ombres | 04:51 | |
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7. | Chemin de Haine - Le rite infernal | 05:36 | |
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8. | Chemin de Haine - Au seuil de ma demeure | 05:21 | |
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32:33 |
Black Metal Blitzkrieg
Album versions
Release date | Label | Catalog ID | Format | Description |
---|---|---|---|---|
2016 | Wotanstahl Klangschmiede Germania | W.K.G.2016 | CD | |
May 15th, 2018 | New Era Productions | 12" vinyl | Limited edition |
Members | |
---|---|
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Tracks | |||
---|---|---|---|
1. | Jeunesse épuration | 03:09 | |
(loading lyrics...) | |||
2. | Aigle conquérant (Titus victorieux) | 03:38 | |
(loading lyrics...) | |||
3. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:09 | |
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4. | Sur les ruines et les cendres de sion | 03:13 | |
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5. | Ma nécropole | 03:01 | |
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6. | Dernier bastion blanc | 03:25 | |
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7. | ...et autres germes de pourriture | 03:09 | |
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8. | Consumatum est | 04:00 | |
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9. | Seigneur Voland | 04:23 | |
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31:07 |
Cérémonie chaotique pour un monde mourant...
Members | |
---|---|
Band members | |
Seigneur Voland | |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Chemin de Haine | |
Malkira Eskhanth | Guitars, Bass |
Armathyss | Drums, Guitars |
Vlad Drakul | Vocals |
Guest/Session | |
Patrick | Drums, Bass |
Miscellaneous staff | |
L.F. | Music |
Xaphan | Lyrics |
Malkira Eskhanth | Music, Lyrics |
Tracks | |||
---|---|---|---|
Side A | |||
1. | Seigneur Voland - Les jours de Dieu sont comptés | 03:52 | Show lyrics |
Les jours de dieu sont comptés et je vois Nos horizons en cohortes obscures de démons Qui se nourrissent au sépulcre de l’humanité Gavant du subtil poison qui fait dire : je te bannis Yahvé Toi, l’insulte, qui n’a jamais compté, Toi, l’abject mensonge, tu as souillé nos panthéons D’un flot de larmes et d’anathèmes inféconds Prends garde si Babylone sévit...Jérusalem va brûler « Il a voulu que son dieu foutit également. Il détache du ciel cette haïssable portion de lui-même. On s’imagine peut être que c’est porté sur des rayons célestes, au milieu du cortèges des anges que va apparaître cette sublime créature. Pas un mot, c’est dans le sein d’une catin juive, au beau milieu d’une étable à cochons, que s’annonce le seigneur qui vient sauver la terre ». (Marquis de Sade). Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’horrible chose que vous prêchez La fin du Christ a sonné et je crois que sa mémoire ,même morte, est digne de l’humiliation Car nous avons la conscience noire du règne athée qui lave des souillures à la prosternation de l’agnelle crucifiée Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’infect culte qui la repaît Autrefois, dieu était gai comme un pinçon roucoulant sur son perchoir Mais aujourd’hui l’arbre se rompt et je perçois son fils choir Pas de pitié, pas de remords, ne vois tu pas qu’il est trop tard Qu ‘il flanche ce charpentier bâtard sur son destin de quelques planches. |
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2. | Seigneur Voland - Ma nécropole | 02:57 | |
(loading lyrics...) | |||
3. | Seigneur Voland - Des Juifs et autres germes de pourriture | 03:05 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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Side B | |||
4. | Chemin de Haine - Englouti par les ombres | 04:51 | |
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5. | Chemin de Haine - Le rite infernal | 05:36 | |
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20:21 |
Cérémonie chaotique pour un monde mourant...
Members | |
---|---|
Original line-up | |
Band members | |
Seigneur Voland | |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Chemin de Haine | |
Malkira Eskhanth | Guitars, Bass |
Armathyss | Drums, Guitars |
Vlad Drakul | Vocals |
Guest/Session | |
Patrick | Drums, Bass |
Miscellaneous staff | |
L.F. | Music |
Xaphan | Lyrics |
Malkira Eskhanth | Music, Lyrics |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Seigneur Voland - Les jours de Dieu sont comptés | 03:52 | Show lyrics |
Les jours de dieu sont comptés et je vois Nos horizons en cohortes obscures de démons Qui se nourrissent au sépulcre de l’humanité Gavant du subtil poison qui fait dire : je te bannis Yahvé Toi, l’insulte, qui n’a jamais compté, Toi, l’abject mensonge, tu as souillé nos panthéons D’un flot de larmes et d’anathèmes inféconds Prends garde si Babylone sévit...Jérusalem va brûler « Il a voulu que son dieu foutit également. Il détache du ciel cette haïssable portion de lui-même. On s’imagine peut être que c’est porté sur des rayons célestes, au milieu du cortèges des anges que va apparaître cette sublime créature. Pas un mot, c’est dans le sein d’une catin juive, au beau milieu d’une étable à cochons, que s’annonce le seigneur qui vient sauver la terre ». (Marquis de Sade). Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’horrible chose que vous prêchez La fin du Christ a sonné et je crois que sa mémoire ,même morte, est digne de l’humiliation Car nous avons la conscience noire du règne athée qui lave des souillures à la prosternation de l’agnelle crucifiée Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’infect culte qui la repaît Autrefois, dieu était gai comme un pinçon roucoulant sur son perchoir Mais aujourd’hui l’arbre se rompt et je perçois son fils choir Pas de pitié, pas de remords, ne vois tu pas qu’il est trop tard Qu ‘il flanche ce charpentier bâtard sur son destin de quelques planches. |
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2. | Seigneur Voland - Ma nécropole | 02:57 | |
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3. | Seigneur Voland - Des Juifs et autres germes de pourriture | 03:05 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourtant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son môme sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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Side B | |||
4. | Chemin de Haine - Englouti par les ombres | 04:51 | |
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5. | Chemin de Haine - Le rite infernal | 05:36 | |
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20:21 |
Cérémonie chaotique pour un monde mourant...
Members | |
---|---|
Original line-up | |
Band members | |
Seigneur Voland | |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Chemin de Haine | |
Malkira Eskhanth | Guitars, Bass |
Armathyss | Drums, Guitars |
Vlad Drakul | Vocals |
Guest/Session | |
Patrick | Drums, Bass |
Miscellaneous staff | |
L.F. | Music |
Xaphan | Lyrics |
Malkira Eskhanth | Music, Lyrics |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Seigneur Voland - Les jours de Dieu sont comptés | 03:52 | Show lyrics |
Les jours de dieu sont comptés et je vois Nos horizons en cohortes obscures de démons Qui se nourrissent au sépulcre de l’humanité Gavant du subtil poison qui fait dire : je te bannis Yahvé Toi, l’insulte, qui n’a jamais compté, Toi, l’abject mensonge, tu as souillé nos panthéons D’un flot de larmes et d’anathèmes inféconds Prends garde si Babylone sévit...Jérusalem va brûler « Il a voulu que son dieu foutit également. Il détache du ciel cette haïssable portion de lui-même. On s’imagine peut être que c’est porté sur des rayons célestes, au milieu du cortèges des anges que va apparaître cette sublime créature. Pas un mot, c’est dans le sein d’une catin juive, au beau milieu d’une étable à cochons, que s’annonce le seigneur qui vient sauver la terre ». (Marquis de Sade). Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’horrible chose que vous prêchez La fin du Christ a sonné et je crois que sa mémoire ,même morte, est digne de l’humiliation Car nous avons la conscience noire du règne athée qui lave des souillures à la prosternation de l’agnelle crucifiée Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’infect culte qui la repaît Autrefois, dieu était gai comme un pinçon roucoulant sur son perchoir Mais aujourd’hui l’arbre se rompt et je perçois son fils choir Pas de pitié, pas de remords, ne vois tu pas qu’il est trop tard Qu ‘il flanche ce charpentier bâtard sur son destin de quelques planches. |
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2. | Seigneur Voland - Ma nécropole | 02:57 | |
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3. | Seigneur Voland - Des Juifs et autres germes de pourriture | 03:05 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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Side B | |||
4. | Chemin de Haine - Englouti par les ombres | 04:51 | |
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5. | Chemin de Haine - Le rite infernal | 05:36 | |
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20:21 |
Seigneur Voland
Members | |
---|---|
Band members | |
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Guest/Session | |
Overlord Nasty Metatheos | Vocals (additional) (on track 5) |
Miscellaneous staff | |
L.F. | Composition |
Xaphan | Lyrics |
Tracks | |||
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1. | Aigle conquérant (Titus victorieux) | 03:29 | Show lyrics |
AIGLE CONQUERANT (TITUS VICTORIEUX) « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:09 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
|||
3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
|||
4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:50 | Show lyrics |
SUR LES RUINES ET LES CENDRES DE SION Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
|||
5. | Agonie (Outro) | 05:42 | |
(loading lyrics...) | |||
18:31 |
Seigneur Voland
Members | |
---|---|
Original line-up | |
Band members | |
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Guest/Session | |
Overlord Nasty Metatheos | Vocals (additional) (on track 5) |
Miscellaneous staff | |
Xaphan | Lyrics |
L.F. | Composition |
Tracks | |||
---|---|---|---|
1. | Aigle conquérant (Titus victorieux) | 03:29 | Show lyrics |
AIGLE CONQUERANT (TITUS VICTORIEUX) « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:09 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:50 | Show lyrics |
SUR LES RUINES ET LES CENDRES DE SION Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Agonie (Outro) | 05:42 | |
(loading lyrics...) | |||
18:31 |
Gathered Under the Banner of Concilium
Members | |
---|---|
Band members | |
Seigneur Voland | |
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
Xaphan | Vocals, Lyrics |
L.F. | Guitars |
Blessed in Sin | |
Black Christ | Guitars |
Overlord Nasty Metatheos | Vocals, Lyrics |
Belial | Keyboards |
Kristallnacht | |
L.F. | Vocals, Guitars, Lyrics |
Malkira | Vocals (additional) |
Hylgaryss | Drum programming |
Guest/Session | |
Storm | Bass |
Serge | Drums |
Xaphan | Vocals (additional) (track 7) |
Miscellaneous staff | |
Rost | Recording, Mixing |
Tracks | |||
---|---|---|---|
1. | Kristallnacht - Introduction to Bloodcult | 02:57 | instrumental |
(loading lyrics...) | |||
2. | Kristallnacht - Legitimate Defence (The Law of Blood) | 03:10 | Show lyrics |
Blood orders to natural Aryan justice Hailing strength for our preservation Pride and glory for those who revere it For this fluid forever seals our destiny A legitimate defense... A call from within our veins Our identity we cannot deny Behind the mask of the Man’s rights The sons of Zion decided our loss A healthy discrimination... The love of ourselves Our racial consciousness is criminal for them Heirs and guardians of the NS flame Breaking the notion of an universal dualism A legitimate defense... A call from within our veins Our identity we cannot deny Behind the mask of the Man’s rights The sons of Zion decided our loss The < brings slow death A disease that infected our race A logical measure to adopt Kill what is killing us! |
|||
3. | Blessed in Sin - Himmelfahrtskommando | 06:18 | |
(loading lyrics...) | |||
4. | Seigneur Voland - Consumatum Est | 04:15 | |
(loading lyrics...) | |||
5. | Seigneur Voland - Quand les Svastikas étoilaient le Ciel | 03:03 | |
(loading lyrics...) | |||
6. | Seigneur Voland - Seigneur Voland | 04:11 | |
(loading lyrics...) | |||
7. | Blessed in Sin - The Gate of Nanna (Beherit cover) | 04:57 | Show lyrics |
The dream descends to the region of moon To the land, the sphere of eternal sin A half light, dark the realm of Nanna The realm of spirits and the father of the gods Oh, shine of moon, of the astral gods It ravishes, it calls us to sin... Lord Nanna, of the race of Anu Lord Nanna, called sin Lord Nanna, o hero of the gods Lord Nanna, the gate of sin... Ave Satan, Ave Lucifer, Ave Satan, Alla Xul Ave Satan, Ave Lucifer, Ave Satan, Gigim Xul ...Sleep |
|||
28:51 |
Gathered Under the Banner of Concilium
Members | |
---|---|
Original line-up | |
Band members | |
Seigneur Voland | |
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
Xaphan | Vocals, Lyrics |
L.F. | Guitars |
Blessed in Sin | |
Overlord Nasty Metatheos | Lyrics, Vocals |
Belial | Keyboards |
Black Christ | Guitars |
Kristallnacht | |
L.F. | Vocals, Guitars, Lyrics |
Malkira | Vocals (additional) |
Hylgaryss | Drum programming |
Guest/Session | |
Xaphan | Vocals (additional) (track 7) |
Storm | Bass |
Serge | Drums |
Miscellaneous staff | |
Rost | Recording, Mixing |
Tracks | |||
---|---|---|---|
1. | Kristallnacht - Introduction to Bloodcult | instrumental | |
(loading lyrics...) | |||
2. | Kristallnacht - Legitimate Defence (The Law of Blood) | Show lyrics | |
Blood orders to natural Aryan justice Hailing strength for our preservation Pride and glory for those who revere it For this fluid forever seals our destiny A legitimate defense... A call from within our veins Our identity we cannot deny Behind the mask of the Man’s rights The sons of Zion decided our loss A healthy discrimination... The love of ourselves Our racial consciousness is criminal for them Heirs and guardians of the NS flame Breaking the notion of an universal dualism A legitimate defense... A call from within our veins Our identity we cannot deny Behind the mask of the Man’s rights The sons of Zion decided our loss The < brings slow death A disease that infected our race A logical measure to adopt Kill what is killing us! |
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3. | Blessed in Sin - Himmelfahrtskommando | ||
(loading lyrics...) | |||
4. | Seigneur Voland - Consumatum Est | ||
(loading lyrics...) | |||
5. | Seigneur Voland - Quand les Svastikas étoilaient le Ciel | ||
(loading lyrics...) | |||
6. | Seigneur Voland - Seigneur Voland | ||
(loading lyrics...) | |||
7. | Blessed in Sin - The Gate of Nanna (Beherit cover) | Show lyrics | |
The dream descends to the region of moon To the land, the sphere of eternal sin A half light, dark the realm of Nanna The realm of spirits and the father of the gods Oh, shine of moon, of the astral gods It ravishes, it calls us to sin... Lord Nanna, of the race of Anu Lord Nanna, called sin Lord Nanna, o hero of the gods Lord Nanna, the gate of sin... Ave Satan, Ave Lucifer, Ave Satan, Alla Xul Ave Satan, Ave Lucifer, Ave Satan, Gigim Xul ...Sleep |
|||
8. | Kristallnacht - The Praise of War | ||
(loading lyrics...) | |||
9. | Kristallnacht - Pesttanz | ||
(loading lyrics...) | |||
10. | Kristallnacht - Soldiers of Triumphant Sun | ||
(loading lyrics...) | |||
11. | Kristallnacht - For Resurrection of Our Movement | ||
(loading lyrics...) | |||
12. | Kristallnacht - Kristallnacht | ||
(loading lyrics...) | |||
13. | Kristallnacht - Reigning with Honour & Tyranny | ||
(loading lyrics...) | |||
14. | Kristallnacht - Warspirit | ||
(loading lyrics...) | |||
15. | Kristallnacht - A Strife... A Victory | ||
(loading lyrics...) |
Consumatum Est
Tracks | |||
---|---|---|---|
Side A | |||
1. | Aigle conquérant (Titus Victorieux) | 03:29 | Show lyrics |
« Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:09 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
|||
4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:50 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
|||
5. | Agonie (Outro) | 05:42 | |
(loading lyrics...) | |||
6. | Consumatum Est | 04:13 | |
(loading lyrics...) | |||
7. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
(loading lyrics...) | |||
8. | Seigneur Voland | 04:09 | |
(loading lyrics...) | |||
9. | Hommerie : Animal-masse | 03:21 | |
(loading lyrics...) | |||
10. | Jeunesse épuration | 03:30 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
|||
Side B | |||
11. | Le cancer moral du désert | 03:31 | |
(loading lyrics...) | |||
12. | Dance of Eternal Shadows (Darkthrone cover) | 03:28 | Show lyrics |
I must embrace visual Hell to satisfy us Rape the whores in blasphemy I am him while I feast upon your flesh Glance into my eyes and see the darkest shadows dancing Playing in the desert of my life Burning, - and my soul is descending... Lover of all - Face the apocalypse You fade away under the black rain and flowers remain Flowers to step on, flowers to burn Am I ready for the god below Red flesh to penetrate my skin To steel my soul away To the grave I seek Until I’m feeling weak... But there’s fire In my heart, in my eyes In his body, in his eyes And in his lovely kingdom |
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13. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 03:11 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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46:55 |
Consumatum Est
Tracks | |||
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1. | Aigle conquérant (Titus Victorieux) | 03:28 | Show lyrics |
« Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:08 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:51 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Consumatum Est | 04:13 | |
(loading lyrics...) | |||
6. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
(loading lyrics...) | |||
7. | Seigneur Voland | 04:11 | |
(loading lyrics...) | |||
8. | Les Jours de Dieu Sont Comptés | 03:59 | |
(loading lyrics...) | |||
9. | Ma Nécropole | 02:55 | |
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10. | Et autres germes de pourriture | 03:11 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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11. | Hommerie : Animal-masse | 03:09 | |
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12. | Jeunesse épuration | 03:20 | Show lyrics |
I must embrace visual Hell to satisfy us Rape the whores in blasphemy I am him while I feast upon your flesh Glance into my eyes and see the darkest shadows dancing Playing in the desert of my life Burning, - and my soul is descending... Lover of all - Face the apocalypse You fade away under the black rain and flowers remain Flowers to step on, flowers to burn Am I ready for the god below Red flesh to penetrate my skin To steel my soul away To the grave I seek Until I’m feeling weak... But there’s fire In my heart, in my eyes In his body, in his eyes And in his lovely kingdom |
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13. | Le cancer moral du désert | 03:15 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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14. | Dance of Eternal Shadows (Darkthrone cover) | 03:19 | |
(loading lyrics...) | |||
47:21 |
Consumatum Est
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Aigle conquérant (Titus Victorieux) | 03:29 | Show lyrics |
« Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:09 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:50 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Consumatum Est | 04:13 | |
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6. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
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7. | Seigneur Voland | 04:09 | |
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Side B | |||
8. | Les jours de Dieu sont comptés | 03:21 | |
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9. | Ma nécropole | 03:30 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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10. | ...et autres germes de pourriture | 03:31 | |
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11. | Hommerie : Animal-masse | 03:28 | Show lyrics |
I must embrace visual Hell to satisfy us Rape the whores in blasphemy I am him while I feast upon your flesh Glance into my eyes and see the darkest shadows dancing Playing in the desert of my life Burning, - and my soul is descending... Lover of all - Face the apocalypse You fade away under the black rain and flowers remain Flowers to step on, flowers to burn Am I ready for the god below Red flesh to penetrate my skin To steel my soul away To the grave I seek Until I’m feeling weak... But there’s fire In my heart, in my eyes In his body, in his eyes And in his lovely kingdom |
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12. | Jeunesse épuration | 03:11 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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13. | Le cancer moral du désert | ||
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14. | Dance of eternal shadows | ||
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41:13 |
Consumatum Est
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1. | Aigle conquérant (Titus Victorieux) | 03:28 | Show lyrics |
« Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:08 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:51 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Consumatum Est | 04:13 | |
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6. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
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7. | Seigneur Voland | 04:11 | |
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8. | Les Jours de Dieu Sont Comptés | 03:59 | |
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9. | Ma Nécropole | 02:55 | |
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10. | Et autres germes de pourriture | 03:11 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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11. | Hommerie : Animal-masse | 03:09 | |
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12. | Jeunesse épuration | 03:20 | Show lyrics |
I must embrace visual Hell to satisfy us Rape the whores in blasphemy I am him while I feast upon your flesh Glance into my eyes and see the darkest shadows dancing Playing in the desert of my life Burning, - and my soul is descending... Lover of all - Face the apocalypse You fade away under the black rain and flowers remain Flowers to step on, flowers to burn Am I ready for the god below Red flesh to penetrate my skin To steel my soul away To the grave I seek Until I’m feeling weak... But there’s fire In my heart, in my eyes In his body, in his eyes And in his lovely kingdom |
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13. | Le cancer moral du désert | 03:15 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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Consumatum Est
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1. | Aigle conquérant (Titus Victorieux) | 03:28 | Show lyrics |
« Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:08 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:51 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Consumatum Est | 04:13 | |
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6. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
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7. | Seigneur Voland | 04:11 | |
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8. | Les Jours de Dieu Sont Comptés | 03:59 | |
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9. | Ma Nécropole | 02:55 | |
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10. | Et autres germes de pourriture | 03:11 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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11. | Hommerie : Animal-masse | 03:09 | |
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12. | Jeunesse épuration | 03:20 | Show lyrics |
I must embrace visual Hell to satisfy us Rape the whores in blasphemy I am him while I feast upon your flesh Glance into my eyes and see the darkest shadows dancing Playing in the desert of my life Burning, - and my soul is descending... Lover of all - Face the apocalypse You fade away under the black rain and flowers remain Flowers to step on, flowers to burn Am I ready for the god below Red flesh to penetrate my skin To steel my soul away To the grave I seek Until I’m feeling weak... But there’s fire In my heart, in my eyes In his body, in his eyes And in his lovely kingdom |
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13. | Le cancer moral du désert | 03:15 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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1. | Aigle conquérant (Titus Victorieux) | 03:28 | Show lyrics |
« Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:08 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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6. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
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7. | Seigneur Voland | 04:11 | |
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8. | Les jours de dieu sont comptés | 03:59 | |
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9. | Ma nécropole | 02:55 | |
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10. | Et autres germes de pourriture | 03:11 | |
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11. | Hommerie : Animal-masse | 03:09 | |
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12. | Jeunesse épuration | 03:20 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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13. | Le cancer moral du désert | 03:15 | |
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14. | Dance of Eternal Shadows (Darkthrone cover) | 03:28 | Show lyrics |
I must embrace visual Hell to satisfy us Rape the whores in blasphemy I am him while I feast upon your flesh Glance into my eyes and see the darkest shadows dancing Playing in the desert of my life Burning, - and my soul is descending... Lover of all - Face the apocalypse You fade away under the black rain and flowers remain Flowers to step on, flowers to burn Am I ready for the god below Red flesh to penetrate my skin To steel my soul away To the grave I seek Until I’m feeling weak... But there’s fire In my heart, in my eyes In his body, in his eyes And in his lovely kingdom |
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1. | Aigle conquérant (Titus Victorieux) | 03:28 | Show lyrics |
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2. | ...et autres germes de pourriture | 03:08 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:21 | Show lyrics |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:51 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Consumatum Est | 04:13 | |
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6. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
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7. | Seigneur Voland | 04:11 | |
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Side B | |||
8. | Les jours de dieu sont comptés | 03:59 | |
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9. | Ma nécropole | 02:55 | |
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10. | Et autres germes de pourriture | 03:11 | |
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11. | Hommerie : Animal-masse | 03:09 | |
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12. | Jeunesse épuration | 03:20 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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13. | Le cancer moral du désert | 03:15 | |
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14. | Dance of Eternal Shadows (Darkthrone cover) | 03:28 | Show lyrics |
I must embrace visual Hell to satisfy us Rape the whores in blasphemy I am him while I feast upon your flesh Glance into my eyes and see the darkest shadows dancing Playing in the desert of my life Burning, - and my soul is descending... Lover of all - Face the apocalypse You fade away under the black rain and flowers remain Flowers to step on, flowers to burn Am I ready for the god below Red flesh to penetrate my skin To steel my soul away To the grave I seek Until I’m feeling weak... But there’s fire In my heart, in my eyes In his body, in his eyes And in his lovely kingdom |
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47:30 |
Seigneur Voland - Final Stand
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Aigle conquérant (Titus victorieux) | 03:29 | Show lyrics |
« Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...Et autres germes de pourriture | 03:08 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:20 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:50 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Agonie (outro) | 05:38 | |
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6. | Les jours de Dieu sont comptés | 03:56 | Show lyrics |
Les jours de dieu sont comptés et je vois Nos horizons en cohortes obscures de démons Qui se nourrissent au sépulcre de l’humanité Gavant du subtil poison qui fait dire : je te bannis Yahvé Toi, l’insulte, qui n’a jamais compté, Toi, l’abject mensonge, tu as souillé nos panthéons D’un flot de larmes et d’anathèmes inféconds Prends garde si Babylone sévit...Jérusalem va brûler « Il a voulu que son dieu foutit également. Il détache du ciel cette haïssable portion de lui-même. On s’imagine peut être que c’est porté sur des rayons célestes, au milieu du cortèges des anges que va apparaître cette sublime créature. Pas un mot, c’est dans le sein d’une catin juive, au beau milieu d’une étable à cochons, que s’annonce le seigneur qui vient sauver la terre ». (Marquis de Sade). Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’horrible chose que vous prêchez La fin du Christ a sonné et je crois que sa mémoire ,même morte, est digne de l’humiliation Car nous avons la conscience noire du règne athée qui lave des souillures à la prosternation de l’agnelle crucifiée Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’infect culte qui la repaît Autrefois, dieu était gai comme un pinçon roucoulant sur son perchoir Mais aujourd’hui l’arbre se rompt et je perçois son fils choir Pas de pitié, pas de remords, ne vois tu pas qu’il est trop tard Qu ‘il flanche ce charpentier bâtard sur son destin de quelques planches. |
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7. | Ma nécropole | 02:53 | |
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Side B | |||
8. | ...Et autres germes de pourriture | 03:07 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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9. | Consumatum est | 04:16 | |
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10. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
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11. | Seigneur Voland | 04:13 | |
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12. | Hommerie: Animal-masse | 03:08 | |
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13. | Jeunesse épuration | 03:17 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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14. | Le cancer moral du désert | 03:15 | |
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49:31 |
Seigneur Voland - Final Stand
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Aigle conquérant (Titus victorieux) | 03:29 | Show lyrics |
« Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » (Théophile Gautier) Moi, Titus, César païen, aigle conquérant, leur Némésis, J’ai dévasté leur temple au prix d’une légion de vaillants, La bannière est honorée, l’empire de mille ans, et si je péris, C’est dans la gloire que je meurs pour ma race et mon sang . « Si nous sommes une statue façonnée à l’image de leur dieu Quand cette image est abattue, jettons en les débris au feu » Voyez, mânes romaines, le faible nomade qui m’implore, Et son dieu, le grand absent : abs conditus, comme le juif : errant Ces larves supplient mais la guerre a ses attraits que l’oraison ignore, Et toi, grand Mars, tu les emporteras dans des limbes de tourments. Si nous sommes cette statue sculptée par le pieu Quand le démiurge est abattu, jettons en les débris au feu Kère noire, tu les étrangleras de tes doigts secs et raides, Puis tu les engloutiras dans tes algues, tes bras, vers l’obscur Au-delà du Tartaros infâme aux moissons stériles, aux terres à jamais froides Où la race de David entendra sonner, pour elle, le dernier glas. |
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2. | ...Et autres germes de pourriture | 03:08 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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3. | Dernier bastion blanc | 03:20 | Show lyrics |
Ai-je rêvé où l’étoile jaune n’a pas assez brûlée dans les temples de douleur et sur les autels ardents Quand le surhomme sans couleur était loup conquérant ai-je rêvé des noires sous-frances du cheptel calciné ? Leur sang sur nos armes, jamais je ne coulerai une larme Les corps et leurs femmes, si chauds dans les flammes Un monde d’êtres infâmes torture mon âme Terre dégénérée, j’entends encore la symphonie du charnier Ils ont priés mais faudrait-il tous les crucifier ? Comme leur roi d’antan, l’agonie dans leur chair déchirées aux flans par la ténébreuse inflexible du dernier bastion blanc Ils ont priés mais la meute enragée avait soif de pureté et de sang Ai-je rêvé ou se sont-ils proclamés "innocents" ? "innocents" ? mais alors je suis un "tueur d’enfants" ! Ai-je rêvé des douze tribus exterminées par le dernier bastion blanc du IIIème Reich Allemand... |
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4. | Sur les ruines et les cendres de Sion | 02:50 | Show lyrics |
Israël s’était placé pour dominer les peuples mais l’impie se souleva contre le bacille de passage devenant celui à qui l’on crache au visage Vous tous, sbires de l’idole du vide, recommencez et venez donc pleurer sur les ruines de Sion Je ne trouverai pas un sage parmi vous Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur qui prétend que la nuit est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là N’est-ce pas le Schéol que vous espériez tant pour demeure ? C’est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche Et je crierai au gouffre : c’est toi leur Père ! Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère Votre espérance : où donc est-elle ? Votre espérance , qui peut encore l’apercevoir ? Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l’Aryen abat Il descendra vers les barreaux du séjour des morts Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière. |
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5. | Agonie (outro) | 05:38 | |
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6. | Les jours de Dieu sont comptés | 03:56 | Show lyrics |
Les jours de dieu sont comptés et je vois Nos horizons en cohortes obscures de démons Qui se nourrissent au sépulcre de l’humanité Gavant du subtil poison qui fait dire : je te bannis Yahvé Toi, l’insulte, qui n’a jamais compté, Toi, l’abject mensonge, tu as souillé nos panthéons D’un flot de larmes et d’anathèmes inféconds Prends garde si Babylone sévit...Jérusalem va brûler « Il a voulu que son dieu foutit également. Il détache du ciel cette haïssable portion de lui-même. On s’imagine peut être que c’est porté sur des rayons célestes, au milieu du cortèges des anges que va apparaître cette sublime créature. Pas un mot, c’est dans le sein d’une catin juive, au beau milieu d’une étable à cochons, que s’annonce le seigneur qui vient sauver la terre ». (Marquis de Sade). Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’horrible chose que vous prêchez La fin du Christ a sonné et je crois que sa mémoire ,même morte, est digne de l’humiliation Car nous avons la conscience noire du règne athée qui lave des souillures à la prosternation de l’agnelle crucifiée Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l’humanité Les jours de dieu sont comptés, l’infect culte qui la repaît Autrefois, dieu était gai comme un pinçon roucoulant sur son perchoir Mais aujourd’hui l’arbre se rompt et je perçois son fils choir Pas de pitié, pas de remords, ne vois tu pas qu’il est trop tard Qu ‘il flanche ce charpentier bâtard sur son destin de quelques planches. |
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7. | Ma nécropole | 02:53 | |
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Side B | |||
8. | ...Et autres germes de pourriture | 03:07 | Show lyrics |
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure balancés par la main des juifs et autres germes de pourriture berce les mânes noyées des brebis sans sépulture qui se dispersent lentement comme des cendres dans l’azur Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées Pourant elles n’avaient pas peur, rêvant juste à un havre de paix Dés lors, leurs pas s’éloignent et la notion de dieu sous l’ultime lueur du ciel Puis leurs corps si frêles s’enlisent dans son mome sein cruel Leur soleil est mort, plus jamais d’étés, que des nuits monotones Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité est cette nourriture d’automne Cette terre ancestrale et païenne d’où nous les avons chassés Et leurs veines sur lesquelles au rasoir nous avons tiré un trait... En quête d’un gouffre noir, d’un endroit loin qu’ils ne connaissaient pas Un ailleurs de dieu où chaque colline, chaque recoin est vierge de croix et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu Où chaque Vierge possède à la place du coeur un énorme pieu |
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9. | Consumatum est | 04:16 | |
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10. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:01 | |
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11. | Seigneur Voland | 04:13 | |
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12. | Hommerie: Animal-masse | 03:08 | |
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13. | Jeunesse épuration | 03:17 | Show lyrics |
L’antique Gaïa nous impute la tâche d’inversé la croix et la vapeur du train de la mort raciale et culturelle vers laquelle nous conduisent les rabes de la Shoa Mère dachau a généré des enfants vengeurs et démentiels Dieu est mort mais des confins de l’Histoire et du pouvoir Ses pourceaux l’exhumentn eux, qui profanent la Mère terre, Vulcain, depuis ton dôme ou brulent les flammes noires de la haine, forge, depuis ce chaudron, les aciers émoussés de nos coeurs, pour que les fils d’Arya fassent sans remors et sans peine, Du "Paradis terrestre" un nouvel autodafé, charnier purificateur |
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14. | Le cancer moral du désert | 03:15 | |
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49:31 |
Black Metal Blitzkrieg
Members | |
---|---|
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Tracks | |||
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1. | Jeunesse épuration | 03:09 | |
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2. | Aigle conquérant (Titus victorieux) | 03:38 | |
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3. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:09 | |
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4. | Sur les ruines et les cendres de sion | 03:13 | |
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5. | Ma nécropole | 03:01 | |
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6. | Dernier bastion blanc | 03:25 | |
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7. | ...et autres germes de pourriture | 03:09 | |
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8. | Consumatum est | 04:00 | |
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9. | Seigneur Voland | 04:23 | |
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31:07 |
Black Metal Blitzkrieg
Members | |
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Original line-up | |
Band members | |
Rost | Bass |
Rimmon | Drums |
L.F. | Guitars |
Xaphan | Vocals |
Tracks | |||
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Side A | |||
1. | Jeunesse épuration | 03:09 | |
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2. | Aigle conquérant (Titus victorieux) | 03:38 | |
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3. | Quand les swastikas étoilaient le ciel | 03:09 | |
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4. | Sur les ruines et les cendres de sion | 03:13 | |
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5. | Ma nécropole | 03:01 | |
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Side B | |||
6. | Dernier bastion blanc | 03:25 | |
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7. | ...et autres germes de pourriture | 03:09 | |
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8. | Consumatum est | 04:00 | |
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9. | Seigneur Voland | 04:23 | |
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Band ascii art
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